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- le Mer 01 Fév 2023, 16:07
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Dis-moi de partir (T.2)
Dis-moi de partir (T.2)
de Charlotte Byrd
/!\ Ce tome est le second de la saga. /!\
→ Voir la fiche du premier tome.
Résumé :
Son offre : 365 jours et nuits pour 1 million de dollars.
Ma condition : Je ne ferai pas ça
Sa promesse : Avant que l’année soit terminée, je le supplierais de le faire.
Mes jours de mensonges et de vols sont terminés, mais ensuite Nicholas Crawford me fait une offre que je ne peux pas refuser. Passer une année en faisant semblant d’être sa moitié en contrepartie j’aurai un million de dollars.
J’avais essayé de faire cette partie de ma vie, et toutes ses compétences durement gagnées derrière moi, mais j’ai besoin de cet argent. Il a besoin d’une partenaire.
Je lui ai dit que je ne coucherais jamais avec lui. Il me promet que je le supplierais de le faire. Maintenant, je le désire plus que jamais.
Surtout quand je caresse son corps ciselé et qu’il joue avec moi avec sa langue.
Surtout quand il pose ses mains sur le bas de mon dos et m’embrasse.
Je le veux tellement que j’ai envie de crier. Je le désire tellement… Je pourrais même le supplier.
Mon avis :
L’histoire reprend là où elle s’est arrêtée dans le précédent tome, lors de leur soirée d’essai afin de savoir si Olive fera l’affaire pour ces 365 prochains jours.
Tiens d’ailleurs, dans ces premières lignes, la jeune femme nous fait un rapide résumé de tout ce qui s’est passé dans le tome précédent.
Au fil de ma lecture
- Ne pas ouvrir si tu as l'intention de lire le livre:
Ils ne restent pas très longtemps à la soirée. Juste assez pour qu’Olive fasse diversion le temps que Nicholas vole un précieux bijou (qui avait été volé au préalable). Il semblerait que ce soit « son métier », même si j’ai la sensation qu’il ne nous dit pas tout. Attention, il ne vole pas par plaisir. Par exemple, pour ce bracelet, un homme l’a engagé pour le récupérer. Olive n’est pas sereine d’être mêlée à tout ça, pourtant Nick lui affirme qu’elle n’a absolument rien à craindre. Hum… je suis curieuse de découvrir le passé d’olive. Elle n’est pas étrangère à ces mensonges, magouilles et vols. Ça faisait partie de sa vie quand elle était lycéenne et elle avait l’air de bien se débrouiller.
Bon bah y a les mêmes soucis que dans le livre précédent. Il manque des mots, il y a des phrases qui ne veulent rien dire… Ça m’énerve =)
Le lendemain soir, c’est l’heure du second test. Leur cible se trouve dans un manoir échangiste. C’est la première fois qu’Olive va dans ce genre d’endroit et la tenue qu’a choisi pour elle Nicholas est pour le moins osée. Néanmoins, leur mission sera un échec : il tombe sur Sydney et James, la colloc d’Olivia et son mec. Pour ne pas risquer leur couverture, ils préfèrent annuler leur plan. Néanmoins, cette mission a rapproché les deux nouveaux partenaires et je pense que Nick commence à s’attacher à elle…
Le lendemain, Owen appelle Olive de la prison. Au cours de la conversation, elle lui dit qu’elle fréquente Nicholas Crawford. Son frère la met en garde : Nick est dangereux. Autrefois, ils travaillaient pour le même patron et Crawford est impitoyable. Il a même déjà tué quelqu’un à bout portant. Celui qui se faisait appeler Nicky C. a disparu du jour au lendemain. Leur patron le recherche depuis. Bon j’avoue que c’est quand même un peu gros que, comme par hasard, ce type connaisse le frère d’Olive et qu’ils bossaient tous les deux pour le même mec. En tout cas, Owen semble vraiment avoir peur pour sa sœur. Il lui conseille de quitter la ville, de faire de nouveau papier et d’ignorer ce Nicky C.
Avant de raccrocher, Owen lui demande une faveur : celle de venir témoigner dans deux jours à son audience de libération conditionnelle. Olive va essayer d’être là.
Bon sang…. On tourne en rond depuis des pages et des pages. Nicholas fait tout pour l’empêcher d’aller à l’audience d’Owen. Néanmoins, il lui propose un coup et si elle accepte, il la conduira lui-même (on est d’accord que c’est juste du pipeau pour qu’elle fasse ce qu’il veut ?). Sauf que c’est risqué (et le mec insiste tellement la-dessus que je me demande s’il ne la manipule pas vraiment). Elle va devoir jouer les escortes pour un gars dangereux pendant que Nicholas récupère un truc dans sa suite. Elle devra ensuite se débrouiller pour partir. Ça va mal finir… Finalement, Nick laisse tomber, mais Olive s’en fiche et y va seule.
Elle m’énerve en fait. Je n’arrive pas à la cerner et ça me soule. Elle dit qu’elle a raccroché de tout ça, mais saute sur un nouveau coup à la première occasion. Elle donne l’impression de ne pas être sûre d’elle et pourtant elle va en petite tenue chez un mec qu’elle ne connaît pas et qui est dangereux. Je ne la comprends pas.
Décidément, j’enchaîne les bouquins où je m’ennuie mais qui m’intrigue au point de les continuer… Qu’est-ce qui cloche chez moi ?
Olive arrive à récupérer l’ordinateur portable convoité par Nicholas et s’en sort indemne. Grâce à son tour de passe-passe, elle se rend à l’audience de son frère. Mais ça ressemble fort à une mascarade. Il n’a aucune chance de pouvoir sortir. Cela dit, ça se tient. Le passé d’Owen n’est pas glorieux et les flics n’avaient pas de preuve pour le coincer avec ses magouilles illégales. Alors quand il l’ont choppé en tant que complice de vol à main armée, ils lui ont mis un max de trucs sur le dos pour qu’il reste en prison. Olive est naïve. C’est comme si elle découvrait tout ça (elle m’énerve…).
Bon sang… Les problèmes de traduction sont vraiment horribles. C’est parfois complètement incompréhensible…
Olive emmène Nicholas à son appart. Elle le supplie de coucher avec elle (il lui avait dit qu’elle finirait par le faire). Mais alors qu’ils allaient passer à l’acte, un homme débarque dans l’appart et oblige Nick à s’éloigner de le jeune femme. Impossible de savoir de qui il s’agit. Il est tout en noir et porte un masque de ski noir. Il braque un fusil vers Nicholas (est-ce que ça pourrait être Owen ? Le père (disparu) d’Olive ?). Ah bah, l’homme ne reste pas longtemps debout. Nicholas lui tire une balle entre les deux yeux. Rapidement, des personnes travaillant avec lui viennent s’occuper du corps et tout une histoire (plutôt bien monté je l’avoue) est inventée.
D’après Nicholas, l’homme est un professionnel qui en voulait à Olive. Quelqu’un veut la tuer. Sa tête est mise a pris à cause d’Owen. Il a témoigné contre quelqu’un à la suite de choses qui se sont passées en prison et ce quelqu’un chercher à se venger.
Dans la même soirée, Owen l’appelle. Sa libération conditionnelle a été acceptée. Il sera libre dès le lendemain matin et demande à sa sœur de venir le chercher. Elle accepte mais Nicholas est catégorique : elle ne doit pas y aller.
En conclusion
Comme avec le premier tome, il y a énormément de soucis de traduction et malheureusement, ça rend la lecture du livre pénible, même si ce n’est pas vraiment le seul « soucis » ici. Tout est trop rapide et finalement, il ne se passe pas grand chose en 300 pages.
Olivia accepte de passer le test de Nicholas afin de savoir si oui ou non elle fera l’affaire pour ce qu’il a en tête pour l’année à venir. Elle découvre alors que son potentiel patron trempe dans des affaires illégales et que tout ça pourrait la mettre en danger. Ou alors, est-ce le passé de la jeune femme qui va la rattraper ?
Tout dans ce livre est un peu sans queue ni tête. Ça part un peu dans tous les sens. Beaucoup de choses sont vraiment grosses et arrivent « comme par hasard« .
Je n’ai pas toujours compris les réactions d’Olive. Elle est contradictoire, changeante, naïve… Bref, elle est relou et me saoule autant que dans le premier tome.
Je ne sais pas trop où va nous mener toute cette histoire, mais j’ai envie de continuer la saga, plus par curiosité que par réelle envie.
#darkromance #romancecontemporaine #contrat #haiti #saga #dismoidarreter
- le Mer 30 Nov 2022, 15:27
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- Sujet: Dis-moi d’arrêter (T.1)
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Dis-moi d’arrêter (T.1)
Dis-moi d’arrêter (T.1)
de Charlotte Byrd
Résumé :
Je lui suis redevable. Une somme que je ne peux rembourser.
Il attend autre chose de moi : moi, pour un an.
Mais je ne sais même pas qui il est.
365 jours et autant de nuits à faire ce qu’il veut… sauf ça.
– Je ne coucherai pas avec vous, dis-je catégoriquement
Il rit.
– Je vais vous faire une promesse, me dit-il en me défiant du regard, avant que le temps ne soit écoulé, vous allez me supplier de le faire.
Mon avis :
Au fil de ma lecture
- Ne pas ouvrir si tu as l'intention de lire le livre:
Olivia Kernes a trouvé un chèque d’un montant de plus de cent soixante-sept mille dollars à son nom dans sa boîte aux lettres. Elle ne sait pas quoi en faire. Sa colocataire et amie0 Sydney, pense même qu’il s’agit d’une blague. Effectivement, c’est étrange. L’enveloppe ne contenait que le chèque, aucune autre information ni même le nom de l’expéditeur. Le plus étrangee dans tout ça c’est que le montant correspond parfaitement à ce qu’il lui reste à rembourser de son prêt étudiant.
Les filles émettent alors des hypothèses. Si le chèque est vrai, ce n’est certainement pas un cadeau : la personne qui l’a fait va attendre quelque chose en échange. Mais quoi ?
Olive décide tout de même d’aller à la banque pour le déposer. Il n’y a que de cette façon qu’elle saura s’il est vrai ou non.
Bon, ça se lit mais je ne comprends pas tout. J’ai l’impression que c’est encore un livre avec une traduction à chier. Ça va être fun…
Deux jours plus tard, les cent soixante-sept mille dollars et quelques sont sur son compte. C’était bel et bien un vrai chèque. J’imagine qu’elle ne va pas tarder à avoir des nouvelles de ce généreux donateur.
Ça m’énerve. La nana reçoit un chèque qui lui permettrait de rembourser un prêt. Et là, elle imagine ce qu’elle va faire avec l’argent…
Finalement, elle prend la bonne décision et décide de rembourser son prêt (Fiou… tout ça pour ça…).
Sa mère est malade. Elle a des douleurs chroniques au dos, a besoin de médicaments et d’opérations. Et surtout, elle considère que ses enfants et son mari alcoolique sont responsables de tout ça. Bref, elle est détestable.
Une semaine plus tard, Olivia reçoit une invitation. C’est de son généreux donateur, un certain NC qui l’invite à le rencontrer chez lui, à Hawaï. Il précise que toutes les dépenses seront prises en charge.
Olive décide d’accepter l’invitation (et de virer sa mère de sa vie ; elle a bien raison étant donné la garce que c’est !).
Si on parle un peu de sa famille : son frère aîné, Patrick, est mort dans un accident de voiture à 18 ans (il était en excès de vitesse et, selon les rapports, alcoolisé). C’était le chouchou de sa mère qui ne se remet toujours pas de son décès. Son second frère aîné, Owen, est en prison. Et son père, qui était alcoolique, est parti du jour au lendemain. Bref, Olive n’a pas eu une vie facile et c’est un miracle qu’elle s’en sorte aussi bien.
Sydney n’est pas sereine à l’idée de laisser son amie faire ce voyage seule. On ne sait rien de ce NC ni même de l’endroit où elle va. Son amie va donc l’accompagner.
Arrivées à Maui, Thomas, le chauffeur venu chercher Olivia, ne fait pas d’histoire et emmène les deux jeunes femmes dans un endroit secret de l’île.
D’ailleurs, même arrivé à destination, l’homme ne fait aucune remarque sur le fait qu’elle soit accompagnée. Il précise juste qu’il va demander à ce qu’une autre maisonnette soit préparée pour Sydney.
Ça a l’air d’être le paradis ! Et leur hôte, Monsieur Crawford est aux petits soins. Il les invite d’ailleurs toutes les deux à une soirée cocktail dans la résidence principale. Malheureusement, l’homme a été retenu et n’arrivera que plus tard dans la soirée. Olive attendra néanmoins seule : Sydney file a un rencard avec un mec rencontré durant le cocktail.
J’ai hâte de rencontrer Nicholas Crawford et d’en savoir un peu plus sur les raisons pour lesquelles il lui a fait ce chèque.
D’ailleurs, on découvre grâce à James (le rencard de Sydney) que Nicks est un surfeur. Est-ce que c’est le mec qu’Olive a rencontré quand elle est allée à la plage plus tôt dans l’après-midi ?
Dans la nuit, Amelia (la gouvernante) vient frapper à la porte d’Olivia (elle ne dormait pas, elle se donnait du plaisir). M. Crawford vient de rentrer et il veut la rencontrer. Devant l’heure tardive, Olive refuse, ce qui met mal à l’aise Amélia : personne ne dit non à M. Crawford.
Lol… L’auteure qui se met elle-même en avant dans le livre en tant qu’auteure préférée de son héroïne. Ça va les chevilles ?
Bon bah Nicks vient frapper en personne à sa porte. Comme je m’en doutais, c’est le gars canon de la plage. Il lui donne rendez-vous le lendemain, à dix-neuf heures au belvédère.
Le lendemain, l’homme lui expose ce qu’il veut en retour de son cadeau : Olive doit passer 365 jours et nuits avec lui, l’accompagner partout, se faire apprécier, désirer. C’est le même genre que #365jours mafia italienne en moins ? =) L’homme lui précise tout de même qu’elle n’aura pas à avoir de relations sexuelles avec lui. Néanmoins, il est persuadé qu’elle le suppliera d’en avoir avant la fin de leur « contrat ».
Il ne l’a pas choisi par hasard. Nicholas était le frère de la meilleure amie d’enfance d’Olive. Ashley s’est suicidée après que sa mère l’a envoyée dans le Mississippi. Son beau-père l’a violée, elle est tombée enceinte et sa mère s’est débarrassée d’elle, jugeant qu’elle avait séduit son beau-père. Elle s’est pendue quelques jours après son arrivée. Depuis, Nicks culpabilise.
Dans son mail d’adieu, Ashley a écrit à son frère de ne pas s’en vouloir et que s’il voulait aider quelqu’un, il fallait que ce soit Olive. Alors, il veille sur elle depuis ce moment.
Si elle accepte sa proposition, elle sera dédommagée pour mettre sa vie de côté pour un an. Un million de dollars pour 365 jours. La vache… Même avec 10 vies, je n’arriverai jamais à amasser autant d’argent sur mon compte en banque…
Méga saut dans le temps, quelques semaines plus tard. J’ai l’impression qu’Olive a accepté la proposition alors qu’elle s’était convaincue de la refuser.
Ça me saoule quand on rate un bout comme ça. Pourquoi elle a cédé ? Pourquoi elle se retrouve attachée au lit avec Nicholas qui lui mord un téton ? Mais qu’est-ce qu’il s’est passé ?
Ah… On revient à « aujourd’hui ». Est-ce que c’est quand il a fait la proposition et qu’elle a fui ? Je voulais arrêter de lire après le précédent chapitre, mais j’ai besoin de savoir où on en est dans l’histoire.
Ah bah oui, c’est exactement ça. Elle est repartie seule d’Hawaï. Sydney voulait encore un peu profiter de Maui et de James :p Je ne comprends pas trop l’intérêt du chapitre précédent du coup…
À peine rentrée à Boston que sa mère l’appelle. Elle a besoin d’elle. Elle a perdu beaucoup d’argent sur un site de poker en ligne… Bah voilà pourquoi Olive va accepter l’offre de Nicks. C’est du vu, re-vu et archi-vu :/
Sa mère doit cinquante mille dollars à une certaine Marlo (une personne influente de la pègre je crois). Ah bah il semblerait même que cette Marlo soit la responsable de la disparition du père (enfin, de sa mort selon Owen ; son père n’a pas remboursé ce qu’il lui devait).
Non mais sérieux Olive ! Je sais que c’est ta mère mais faut la virer de ta vie ! Aucune mère ne demanderait à son enfant de se prostituer pour rembourser ses dettes de jeu !
Deux jours plus tard, un des hommes de Marlo menace Olive. Il l’informe qu’ils retiennent sa mère. Elle a cinq jours pour rassembler cinquante mille dollars, sinon, elle ne retrouvera jamais son corps.
Olive appelle Sydney pour lui emprunter de l’argent. Son amie est restée à Maui. Elle file le parfait amour avec James et ils parlent même d’emménager ensemble. Le coup de foudre :p
Quand Olive lui parle de l’argent, Sydney l’informe qu’elle n’en a pas autant. La jeune femme n’a plus qu’une solution : demander de l’aide à Nicholas. James est un ami proche de Nicks. Sydney a donc eu l’occasion de le rencontrer et de discuter avec lui. Il est tout à fait charmant. Elle encourage Olivia à accepter sa proposition.
Grâce à Sydney, elle obtient le numéro de Nicholas qu’elle appelle aussitôt. À peine a-t-elle évoqué les soucis d’argent de sa mère que l’homme lui fait un virement de cinquante mille dollars. D’après ses dires, cela n’a rien à voir avec l’offre qu’il lui a faite. En échange de ce « service », il veut l’inviter à dîner le lendemain soir.
Prudente, Olive entre en contact avec Marlo à qui elle veut remettre l’argent. Cette dernière lui apprend que personne travaillant pour elle n’a kidnappé sa mère. Est-ce qu’Eleanor se joue d’elle ? Est-ce qu’elle aurait tout manigancé pour soutirer de l’argent à sa fille ? Malgré tout, Olive règle la dette de sa mère en donnant directement l’argent à Marlo (même si celle-ci lui avait conseillé de la laisser se débrouiller).
Le lendemain, la voilà de retour à Maui. C’est Nicholas lui-même qui vient la chercher à l’aéroport et ils filent dans une station de vacances. Là- bas, il lui demande de tenir un rôle : ils vont être Monsieur et Madame London (il semblerait que ce soit nécessaire dans le cadre de son travail… peut-être un genre de Patron Incognito ?). En tout cas, ce soir est un essai afin de savoir si elle fera l’affaire pour l’année à venir. Ici, ils sont un couple de jeunes mariés en lune de miel.
Une tension sexuelle existe entre eux deux, aucun doute là-dessus. Mais Nicholas lui rappelle les conditions de son offre : elle devrait le supplier pour qu’il la touche :p
En conclusion
Commençons par ce qui fâche : la traduction à chier ! Certaines phrases sont incompréhensibles. Il y a des fautes, des mots qui manquent, des mots en trop. À chaque fois que je critique une traduction, j’en arrive toujours à la même conclusion : si un correcteur était repassé pour une relecture, je n’aurais pas à faire cette remarque tant les soucis sont évidents.
Passé ce point, eh bien… Il n’y a rien d’original dans cette histoire. Olive Kernes galère à rembourser son prêt étudiant. Un jour, elle reçoit un chèque du montant exact de la somme qu’elle doit. Aucune information sur l’identité de ce généreux donateur. Elle hésite et finit par l’encaisser. Quelques jours plus tard, elle reçoit une invitation d’un certain N.C. qui veut la rencontrer. Nicholas l’informe que pour régler sa dette (parce que oui, le chèque n’était pas un cadeau), elle doit rester avec lui durant 365 jours et autant de nuits. Elle devrait l’accompagner partout dans ces voyages d’affaires et se faire apprécier (voire désirer) de tous. Néanmoins, il lui précise qu’elle n’aura pas à avoir de relations sexuelles avec lui, sauf si elle le supplie (et il est persuadé que c’est ce qu’elle fera avant la fin de leur “contrat”).
Rien de vraiment original hein…Malgré les soucis de traduction, c’est un livre qui se lit vite. J’ai été prise dans l’histoire. Aucune scène de sexe n’est présente dans ce tome. L’auteure nous présente les personnes et initie le scénario. Même si j’ai trouvé qu’on tournait souvent en rond (comme s’il fallait remplir les pages), j’ai tout de même apprécié ma lecture et je pense que je vais laisser une chance à la suite, par curiosité (et parce que les livres sont dispos dans l’abonnement Amazon Kindle ; je ne suis pas certaine que j’aurai payé pour lire la suite sinon :/ ).
#darkromance #romancecontemporaine #contrat #haiti #saga #dismoidarreter
CatchLove
Catch Love
de Julie Saurel
Résumé :
Préjugé n°1 : Les femmes ne s’intéressent qu’à l’argent
Quand son patron refuse sa demande d’augmentation, Alison y voit l’occasion de le détester encore plus.
Elle n’est pas dupe. Sous ses airs de gendre idéal, celui que la presse surnomme Monsieur Love – parce qu’il vend l’Amour, le vrai ! – est un homme d’affaires qui n’agit que par intérêt.
Et la nouvelle offre qu’il agite sous son nez en est la preuve : un contrat de collaboration personnelle avec clause de confidentialité… C’est une blague ?
Alison n’est pas prête à donner de sa personne pour les beaux yeux de cet homme. Elle ne sait même pas comment supporter sa présence hautaine et froide… Sauf que cet argent qu’il lui propose en échange, elle en a besoin.
Mon avis :
Chacun des chapitres est annoté du nom du personnage qui va nous le raconter. Est-ce que l’on doit s’attendre à des changements de points de vue ?
Au fil de ma lecture
- Ne pas ouvrir si tu as l'intention de lire le livre:
Ohhhh ça se passe à Paris =) J’aime quand les histoires sont chez nous :p
Nous suivons Alison Bertin, une graphiste qui travaille pour la société CatchLove. Cette boîte est spécialisée en coaching amoureux. Elle est censée vous aider à trouver l’amour, à solidifier votre couple, à vous apprendre à séduire, etc.
La jeune femme a rendez-vous avec son patron, Carlier. Mais quand elle arrive devant l’homme de vingt-neuf ans, elle perd tous ses moyens (faut dire que son physique et son charisme ne semblent laisser personne indifférent).
Néanmoins, elle prend son courage à deux mains. Cela fait des années qu’elle travaille pour la société (huit) et elle aimerait que son salaire soit revu à la hausse (ça me paraît légitime, surtout que la boîte semble bien se porter).
Ok…Carlier est un vrai con**ard… Il joue sur les mots et sous-entend qu’il pourrait sous-traiter les jobs de graphiste et acheter les créas à la demande… Bref, c’est dépitée et sans voix qu’Alison sort du bureau.
Oh bon sang ! Je me retrouve tellement dans tout ce qu’elle dit sur la routine. Je suis un peu comme elle, à imaginer des scénarii et à ne pas oser dire ou faire les choses, à penser à des réactions après coup, à parfois même regretter de ne pas avoir osé :/ C’est triste hein ?
Alison vit en appartement avec sa meilleure amie, Mia et sa petite sœur, Amélie, sur qui elle veille depuis la mort de leurs parents l’année précédente dans un accident de voiture. Cependant, avoir la garde de sa sœur n’est pas simple (même si elle a dix-sept ans et semble sans problème) et les finances ont du mal à suivre.
Quelques jours plus tard, Carlier convoque Alison dans son bureau.
Alors qu’elle est persuadée qu’il va la licencier, son patron a en réalité un nouveau poste à lui proposer. Néanmoins, il ne lui en parlera qu’après qu’elle ait signé une clause de confidentialité.
Je retrouve bien là le style de Julie : la maladresse de son héroïne et sa répartie :p Alison me plaît, oui oui ^^
Eh bah… Sa proposition ressemble à une blague. Étant donné qu’il est à la tête d’une entreprise qui promet de trouver l’amour, il ne peut pas rester célibataire. Le job qu’il propose à Alison consiste à se faire passer pour sa petite amie afin qu’ils jouent le couple parfait. Couverture idéale pour l’image de la société
Ah ah ! Changement de point de vue. Voilà celui de Carlier. Non mais attends… Carlier c’est son prénom ou son nom de famille là ? Chelou comme prénom…
Mais quel co**ard (bis repetita) ! Il a choisi Alison parce qu’elle est une parfaite madame tout le monde. Elle est jolie mais sans plus, et selon lui, elle mériterait de perdre quelques kilos pour pouvoir entrer dans un trente-huit et non un quarante. Et par-dessus, comme elle a besoin d’argent, il est sûr qu’elle est prête à accepter tout et n’importe quoi. Ah oui… Le fait qu’elle le déteste (autant que moi) est aussi entrer en jeu dans sa décision.
Le contrat durera au minimum un mois et demi : deux semaines de préparation et un mois de « spectacle en public ». Si elle accepte, c’est douze milles euros qu’elle se mettra dans la poche
Évidemment, et heureusement, Alison n’est pas aveuglé par l’argent même si elle en a besoin ; quand on débourse autant d’argent, c’est qu’il y a des règles à rallonge…
Dans la liste des règles, il y a le fait qu’en dehors des caméras et journalistes, il n’y aura aucun rapprochement, pas de sexe, mais le plus important et le plus inconcevable selon Alison : personne, pas même ses proches, ne devront être au courant de leur accord. Tout le monde devra croire à leur idylle.
Même si elle est sûre de refuser sa proposition, la jeune femme emmène le contrat et quitte, en colère, le bureau de son patron (c’est un vrai con).
À son arrêt de bus, elle croise Julian, un homme à qui elle a parlé quelques jours plus tôt. Le courant semble bien passé entre eux : ils vont boire un verre. Julian a trente et un ans et travaille pour une boîte de com’ à Londres qui essaie de gagner un contrat avec une société de la capitale (avec CatchLove ?).
De retour chez elle, Mia lui apprend qu’Amélie se renseigne sur les facs de médecine pour l’année prochaine et les classe par prix de loyer des logements. Elle prendra aussi un emploi à côté. Bon… Bah… Je pense qu’Alison ne va pas trop avoir le choix avec Carlier hein… Tant pis pour Julian ? (Une des clauses est de ne pas être avec un autre homme le temps du contrat…).
Une fois seule, elle lit le document fourni par Carlier. Durant les deux premières semaines, elle peut rompre à tout moment le contrat. Elle envisage donc de faire ces quinze jours, de toucher les deux milles euros et d’arrêter là (l’argent appelle l’argent aussi… elle finira par en couloir plus…).
Trois jours après avoir signé le premier contrat, l’apprentissage commence. Alison rencontre Laure Dupin, une soixantenaire joviale et bienveillante. La mission de Laure est de lui expliquer comment évoluer dans le milieu de Carlier (en réalité, elle a employé le terme “survivre”…).
Bon ça m’agace… Pourquoi, pour être « présentable en société », une femme doit forcément être en talons hauts ? Pourquoi ne pourrait-on pas être en ballerine ou en converse ? Avoue que c’est quand même plus agréable et pratique ? (Oui j’avoue ! Je ne sais pas marcher avec des talons et je pense que je m’en serai même moins bien tirée qu’Alison).
Ahhh bah Ali pense comme moi =) Et quand Carlier vient prendre le relai pendant que Laure prépare le repas, elle lui balance qu’elle entendra ses critiques et remarques quand il lui aura prouver que marcher avec des talons est facile. D’un claquement de doigts, furieux, Carlier prend sa veste et quitte l’appartement (il est parti acheter des talons à sa taille ?).
Eh bien… Alison agace Carlier autant que lui l’énerve. Et comme il manque de temps avant Noël (on est déjà en novembre), il ne peut pas se permettre de chercher une autre candidate.
Quand il revient à l’appartement avec des talons aiguilles, il se rend finalement compte que c’est bien plus compliqué qu’il n’y paraît. Et cette fois, c’est Alison qui lui fait la leçon
La vache ! Dire que j’allais revoir mon jugement sur Carlier en sachant que sa mère est ignoble avec lui et dirige tout dans sa vie. Mais quand il parle d’Alison, j’oublie tout ! Mais pour qui il se prend sérieux ? Il est clairement détestable !
Air aïe aïe, ça se complique pour Alison. Le week-end suivant, piégée par ses colloc’, elle passe la soirée au restaurant avec Julian. Il y a un rapprochement entre eux, mais, à cause du contrat qui la lie à Carlier, Alison s’interdit tout écart (pas même un baiser ..). D’ailleurs, avec du recul, elle se rend compte que Julian lui plaît mais sans plus. Il n’y a pas d’étincelles entre eux. Il a toujours été là au bon moment et avec son célibat, bah n’importe quel contact semble la mettre en émoi (le manque :p).
Eh bien, cette seconde semaine d’apprentissage va être intéressante : c’est Carlier lui-même qui s’y colle. L’idée étant qu’ils apprennent à se connaître un peu plus, ou en tout cas, à avoir sous le coude quelques anecdotes pour les journalistes.
Étant donné que la communication ne passe pas entre eux, Laure a laissé des instructions. Les voilà donc en train de préparer une recette de cuisine. Alison se rend alors compte que Carlier n’a jamais partagé ce genre d’activité avec quelqu’un de sa famille.
Finalement, ils arrivent à venir à bout de la recette sans s’entretuer, même si le résultat est mauvais. Carlier leur commande à manger et il partage un repas en discutant de l’entreprise.
Le lendemain, quand Monsieur Love doit s’absenter des « cours » d’Alison pour une réunion d’entreprise, ça semble l’agacer. Est-ce qu’au fond de lui, il aime passer du temps avec la jeune femme ? Est-ce que le fait qu’elle ne bave pas à ses pieds et lui tient parfois tête ne lui plaît pas un peu ? Lui qui semble attacher à sa routine, à avoir le contrôle sur tout, est-ce qu’Alison n’est finalement pas une bouffée d’oxygène dans sa vie millimétrée ?
Après un démarrage un peu compliqué, j’avoue que je suis à fond dans l’histoire et je suis curieuse de savoir comment va évoluer la relation entre Carlier et Alison. Est-ce qu’une étincelle va finir par jaillir entre eux ? Est-ce qu’il va y avoir un élément déclencheur ? Est-ce qu’Alison va accepter le second contrat ?
Eh bien ! C’est le jour des quatres vérités entre Carlier et Alison. La jeune femme lui explique les raisons qui pourraient la pousser à refuser le second contrat (les ragots notamment ou encore le poste de sa chef qui part à la retraite prochainement qui lui passera sous le nez ou sera considéré comme une promotion canapé). Elle dit ensuite à Carlier qu’il ne peut pas comprendre la notion d’évolution dans une entreprise, car il est le fils de la fondatrice. Et là, ça lui fait péter un câble. Il doit se passer un truc avec sa mère. Leur relation semble pourrie de chez pourrie. Si ça se trouve, son plan, c’est à cause d’un ultimatum qu’elle lui a donné ?
Alison a l’impression de changer et pas dans le bon sens du terme. Peut-être que, finalement, elle se rend compte qu’elle se trompe en partie sur Carlier. Quoi qu’il en soit, elle culpabilise de lui faire perdre son temps et lui annonce qu’elle n’acceptera pas le prochain contrat, celui qui dure un mois.
Ahhh enfin ! On connaît le prénom de Carlier (je savais bien que Carlier c’était nul comme prénom). Il s’appelle Noah. J’ai la sensation qu’en plus de la relation pourrie avec sa mère, son ex lui a fait un sale coup, ou alors, cette Sophia n’était avec lui que pour son argent… Même s’il est détestable, ça ne semble être qu’une carapace pour se protéger. Mais Alison arrive de temps en temps à faire tomber le masque… D’ailleurs, Noah lui fait une demande un peu particulière : il lui demande de l’accompagner à un dîner de famille le lendemain.
Carlier l’a entendu. Il a entendu qu’elle ne voulait pas qu’on lui impose quoi que ce soit. Pour la préparer au dîner, il a fait appel à des coiffeurs, stylistes et maquilleurs. Chacun d’eux écoute les avis d’Alison et la conseille. La jeune femme en profite alors pour se laisser porter et oser le changement (est-ce qu’on va avoir le déclic que j’attends ? ). En tout cas, le relooking semble plaire à Noah
C’est l’heure. J’avoue que j’angoisse un peu. Est-ce qu’Alison ne va pas dans un guet-apens ? Est-ce que, si Béatrice Carlier attaque, Noah prendra sa défense ? Est ce que ce dîner va changer la vision qu’ils ont l’un de l’autre ?
Wah la vache ! Sa mère est une garce ! Ce n’est pas un simple dîner de famille qu’elle a organisé. C’est un dîner pour que Noah puisse se « pavaner » avec sa conquête du moment et se ridiculiser devant un public… La soirée s’annonce super…
Ah voilà l’explication ! Eric Langlois, un investisseur de CatchLove, a une fille de l’âge de Noah. Il semblerait que Langlois et Béatrice ne soient pas contre l’idée d’une alliance familiale. D’ailleurs c’est avec sa fille, Iris, que Langlois débarque.
Bravo Alison ! Ne te laisse pas démonter ! Ta spontanéité va faire la différence durant ce repas :p (oui oui je la kiffe).
Eh bien ! On apprend aussi que la mère de Noah lui cédera les parts restantes de l’entreprise à condition que celui-ci ait une image de couple parfait. Voilà donc la raison de toute cette mascarade (+ le fait qu’il ne veut pas se retrouver avec Iris).
Oh bordel ! Noah l’a manipulée ? Comme par hasard, une photo d’eux devant la demeure des Carlier a fuité. Une photo où Monsieur Love replace une mèche de cheveux d’Alison… C’est un moyen de lui forcer la main pour le second contrat non ? Ah bah Alison pense exactement comme moi. Elle fonce d’ailleurs dans le bureau de Carlier pour le confronter.
Ah bah vu la réaction de son patron, il a lui aussi été pris au piège… Béatrice alors ? Mais quel serait son intérêt ?
Je rêve où Carlier est en train d’être attiré par Alison ? Voire même de tomber amoureux d’elle, non ? D’ailleurs, il fait un geste vers elle : un avenant à leur premier contrat qui lui permet de tout raconter à Mia et sa sœur. Bon bah c’est sûr, elle va accepter le second, surtout quand Noah partage l’idée que c’est certainement Iris qui est responsable de la photo et de l’article.
De retour chez elle, ses deux colloc’ ont vu, elles aussi, l’article insinuant qu’elle est en couple avec Carlier. Amélie claque la porte en traitant sa sœur de prostituée. Mia, en revanche, écoute toute l’histoire. C’est même elle qui suggère à Alison d’accepter le second contrat. Après tout, la presse en parle déjà et cette fois elle et Amélie seront au courant de l’histoire. Autant en profiter non ? (elle n’a pas tout à fait tort…).
Le lendemain, Béatrice Carlier l’attend. Elle l’a fait monter dans sa berline et lui propose une grosse somme d’argent pour qu’elle quitte son fils. C’est d’ailleurs ce qu’elle a fait avec Sophia… Mais Alison n’est pas ce genre de personne. Elle ne se laisse pas intimider par Béatrice, refuse plusieurs fois et quitte la voiture. Elle s’empresse ensuite de retrouver Noah.
Rhooo je suis contente. Ce refus a rallumé une flamme chez Noah. Une étincelle qu’il ne pensait jamais retrouver. Alison n’est pas comme les autres. Elle lui plaît. Sa dernière barrière tombe et il cède à son charme. Alors qu’ils allaient échanger un premier baiser, la secrétaire de Monsieur Love l’informe de l’arrivée de Langlois. Alison en profite pour s’éclipser (mais Noah ne laissera pas tomber :p).
Je suis ravie de lire que ça s’arrange entre Amélie et Alison. D’ailleurs, grâce à Mia, elles partagent un moment dont elles avaient bien besoin.
Benedicte souhaite déjeuner avec son fils et Alison. Un journal a demandé une interview du couple et la fondatrice de CatchLove veut mettre une stratégie médiatique au point (elle veut surtout faire craquer Alison pour qu’ils se séparent).
Au fond d’eux, aussi bien Noah que la jeune femme ont du mal à mettre un point final à leur collaboration. Bah oui, finalement, ils sont attachés l’un à l’autre.
Non mais quoi ? Les Carliers connaissent Julian ? Et Béatrice se sert de lui pour accuser Alison de manipulation ? C’est le frère de Noah et Béatrice a une photo d’eux dansant au restaurant…
En réalité, c’est Julian qui est une pourriture. Il a été mis de côté par la famille et a profité de la naïveté d’Alison pour faire pression sur les Carlier. La vache, quelle famille de cinglés.
Ohhh my god cette fin :p Plus rien ne sera jamais comme avant
En conclusion
Bon sang ! Quelle frustration ! Quand j’ai commencé ma lecture, je n’avais pas capté que ce tome était le premier d’une série. Une fois encore, et même si ce n’est pas le genre auquel je suis habituée avec Julie, j’ai adoré sa plume et les personnages.
Alison est une graphiste qui a besoin d’argent pour subvenir aux besoins de sa famille. Elle ose donc aller voir son patron, Carlier, pour lui demander une augmentation. Ce dernier, arrogant, hautain – un vrai co**ard – lui rit au nez. Néanmoins, il a une proposition à lui faire : un nouveau poste, le temps de quelques semaines. Si elle accepte, elle pourrait s’en mettre facilement plein les poches (enfin, pas si facilement que ça, parce que le contrat qu’il lui propose est plein de clauses).
Alison est “vraie”, spontanée et n’a pas sa langue dans sa poche. C’est un peu la signature de Julie : j’ai eu l’impression de retrouver un peu d’Alicia et de Jenny dans Alison. Bref, on s’attache à elle, on se retrouve même parfois un peu en elle (j’avoue que j’ai été complètement fan de ce personnage, elle m’a énormément plu).
Concernant Carlier, c’est vraiment un co**ard et, dès le début du livre, on le déteste. Pourtant, on le découvre davantage au fur et à mesure de l’histoire et je trouve que la comparaison qu’Alison fait de lui avec un livre est complètement juste.
J’ai eu du mal à entrer dans l’histoire ; je pense qu’il m’a fallu une trentaine de pages avant d’être vraiment à fond dedans. Ensuite, eh bien, impossible de m’arrêter. Les chapitres sont courts, on jongle parfois de point de vue et… et j’ai adoré. J’aurai aimé que l’histoire dure encore et encore :p
En fait, c’est addictif. Tu as envie de savoir pourquoi Carlier a cette énorme carapace, tu as envie de connaître la décision d’Alison. Le livre est vendu comme un slow burn, du coup, tu sais que les deux personnages principaux vont finir ensemble. Personnellement, j’étais impatiente de voir l’étincelle apparaître :p Maintenant, j’ai hâte de lire la suite. J’espère qu’ils vont rabattre le clapet de Béatrice (que je déteste encore plus que Carlier ???? )
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