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- le Mar 18 Avr 2023, 14:05
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- Sujet: Ta deuxième mort sera la bonne
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Ta deuxième mort sera la bonne
Ta deuxième mort sera la bonne
de Guillaume Suzanne
/!\ Ce livre est la suite de Mort comme au premier jour /!\
Résumé :
Dieu est mort.
Ce serait moins surprenant si ce n’était pas strictement impossible.
Branle-bas de combat au Purgatoire, des têtes vont tomber, et vous connaissez mon attachement pour cette partie de mon anatomie.
Alors que l’anarchie guette, il faut vite mettre la main sur le coupable, de préférence, ou sur un bouc-émissaire, à défaut. Il n’y a que moi pour démêler ce sac de noeuds et trouver le fin mot de tout ce bazar.
Armé d’un corps flambant neuf, d’une morgue renouvelée et d’un sens critique à toutes épreuves, poussez-vous…
Me revoilà.
Retour du narrateur sans nom de Mort comme au premier jour aux prises avec un crime inédit.
Toujours aussi déso(pi)lant.
Mon avis :
Dès les premières lignes, je retrouve la plume loufoque qui m’avait tant plu dans Mort comme au premier jour. D’ailleurs, c’est ce personnage attachant dont on ne connaît pas le nom que nous retrouvons, ainsi que son frère.
Au fil de ma lecture
- Ne pas ouvrir si tu as l'intention de lire le livre:
L’homme sans nom vit dans un appartement de Lyon (rue des Macchabées, ça y est, dès le début c’est léger comme j’aime =) et après la journée que j’ai passée, je peux te dire que ça fait du bien). Abby, la croqueuse de diamant qui a tué son frère, l’a quitté. D’ailleurs, c’est ce même frère qui vient lui annoncer que Dieu est mort. Je suis curieuse de savoir comment c’est possible…
Depuis le début du livre, je me dis « Rho mais c’est pas possible que Guillaume fasse autant de fautes d’accord… C’est une femme qui écrit ou quoi ?« . Mais je comprends ! Notre homme sans nom est devenu, en fait, une femme sans nom(oui ça va nous embrouillé dans ma prise de note tout ça ^^).
J’y pense, Dieu c’était pas la nana que le narrateur avait rencontré ? Celle avec le tatouage ? En tout cas, maintenant que dieu n’est plus là, c’est Goliath qui a repris sa place. Sauf que c’est lui qui tenait le rôle du Diable… Bon sang, ça doit être un bazar sur le Rouleau à Pâtisserie.
Tiens tiens tiens… C’est Dycott, le messager de Dieu, qui s’occupe de mettre un peu d’ordre au Purgatoire. Depuis la décision de notre narrateur du rester, d’autres Purges ont suivi son chemin et il y a bien trop de monde sur le Rouleau à Pâtisserie.
Bon bah Dieu a été assassiné. Poignardé dans la jugulaire. Il est temps de mener l’enquête.
À part l’arme dans sa gorge, le corps de Dieu ne semble pas avoir été malmené. Notre narrateur est également soulagé : le corps n’était plus habitée par la femme qu’il a connu quand Dieu est mort.
Le jeune garçon qui a trouvé le corps sans vie s’appelle Daemon. Cependant, quand notre homme sans nom le rencontre, iel se rend compte que c’est une Purge, tout comme elle. Trop chelou… Le garçon aurait pu le tuer comme il l’a certainement fait avec Dieu. Pourtant, il le laisse et le prévient seulement qu’il vaut mieux qu’ils ne se recroisent pas.
L’homme sans nom retourne faire son rapport à Dycott. C’est clairement le bordel au Purgatoire. Le clan du Diable et celui de Dieu s’affrontent, manifestent. C’est un peu la France des morts quoi
Dycott exige que notre narrateur retrouve Daemon. D’ailleurs, l’homme sans nom commence à ne plus avoir de doute sur la culpabilité du garçon : trois sbires lui tombent dessus pour l’inviter à laisser tomber son enquête. Mais, loin de se laisser démonter, notre narrateur s’en débarrasse rapidement.
Ohhhh Màtyas est toujours sur Terre et il a écrit un livre ^^ C’est à lui que l’homme sans nom (oui je continue de l’appeler l’homme mais s’il est dans le corps d’une femme…) va demander des informations sur l’arme qui semble ancienne. On comprend que le meurtre était prémédité et qu’il y a une symbolique derrière tout ça.
De retour chez lui à Lyon, le narrateur reçoit la visite de Morton, la Mort en personne. Il lui affirme qu’il n’y est pour rien dans ce qui est arrivé à Dieu. D’ailleurs, c’est étrange : si son corps avait été habité par une âme, il ne serait jamais mort… Le corps n’était donc qu’une coquille vide.
Grâce à Veilleur et Scribe, deux individus du monde des vivants surveillant ces derniers, on découvre, en plus du lieu où se trouve Daemon, que la dernière âme dans le corps de Dieu était Eliandre, la femme au tatouage de cygne… Mince alors. Qu’est-ce qui lui est arrivé à la mort du barbu ?
Ah bah l’homme sans nom a compris bien avant nous. Eliandre a pris possession du corps de l’enfant. En réalité, Daemon et elle cohabitent dans le même corps. Le garçon est son arrière arrière …. arrière petit neveu. Il est orphelin et malheureux. Ils ont donc passé un accord. Aucun des deux ne prend le dessus sur l’autre, il existe, ensemble.
Elle a simulé sa propre mort. Une fois qu’elle a sauté dans le corps de Daemon, c’est ensemble qu’ils ont poignardé le corps vide de Dieu. C’est également elle qui a nommé Dycott en amont au poste qu’il occupe. Elle veut se venger de ses années dans la peau de Dieu en faisant tomber le Purgatoire. Eh bah…. J’ai toujours préféré le Diable moi
C’est ensemble qu’il décide de mettre encore plus de bazar au Purgatoire.
L’homme sans nom va voir Goliath, qui occupe la place du Diable et lui fait une proposition : fusionner avec Morton.
Dycott est sous le choc. Plus de Diable. Plus de Dieu. Mais qui va faire tourner le Rouleau à Pâtisserie ?
Fiou…. Le Purgatoire est complètement détruit. Il faut tout reconstruire, repartir sur de nouvelles bases, et Dycott a disparu. Des rumeurs circulent à son sujet : il serait aux côtés de Veilleur et Scribe à préparer sa vengeance…
Hum … La fin laisse penser qu’on aura le droit à une suite, parce qu’on ne sait pas si Eliandre et l’homme sans nom se sont finalement retrouvés et surtout, est-ce que Dycott va réussir à prendre sa revanche ?
En conclusion
Eh bien j’ai passé un aussi bon moment qu’avec Mort comme au premier jour. La plume est toujours aussi plaisante, fluide et c’est toujours aussi loufoque, décalé et bourré d’humour
Le narrateur, qu’on avait découvert dans le précédent livre (et dont on ne connaît toujours pas le prénom) doit mener une enquête pour découvrir ce qui est arrivé à Dieu. Le gros barbu est mort (ce qui est impossible) et le Purgatoire est devenu un joyeux bazar.
Le livre est assez court (à peine 80 pages) et tu fais défiler les pages sans t’en rendre compte. J’ai pris plaisir à retrouver les personnages du premier tome, même si, cette fois, c’est en cavalier seul que l’homme sans nom mène son enquête. J’avoue que je suis curieuse de savoir si une suite est prévue :p
#fantasy #humour #novella #loufoque #mort #religion
- le Ven 23 Déc 2022, 09:47
- Rechercher dans: Humour
- Sujet: Mort comme au premier jour
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Mort comme au premier jour
Mort comme au premier jour
de Guillaume Suzanne
Résumé :
Vous vous êtes déjà demandé ce qu’il y avait après la mort ?
Moi, je ne m’étais jamais posé la question.
Mais depuis que j’ai confondu mes marches d’escalier avec une piste de ski, la réponse s’est imposée à moi sous la forme la plus définitive qui soit.
Et je peux au moins vous dire ceci : la vie après la mort n’est pas de tout repos…
Le retour de l’auteur déjanté des Poubelles Galactiques dans une aventure après la mort que vous n’êtes pas près d’oublier !
Mon avis :
Au fil de ma lecture
1er avis de décès
Le texte est écrit à la première personne du singulier. Le narrateur nous raconte le premier jour de sa mort.
Le style est plaisant : fluide, ironique, amusant.
- Ne pas ouvrir si tu as l'intention de lire le livre:
D’ailleurs, c’est avec une pointe d’humour qu’il nous raconte comment il est mort bêtement : en trébuchant du cinquième étage de son appartement. Eh boom !! Chute dans l’escalier en colimaçon jusqu’au rez-de-chaussée.
Au départ, il ne s’est pas rendu compte qu’il était mort. Pour lui, il avait juste chuté. C’est un “homme” dénommé Màtyas, qui l’attendait, qui le lui a annoncé. Il se retrouve alors… Hum… Dans… Le néant ? Un endroit qu’on ne peut pas vraiment décrire. Un endroit où la perception de tout est particulière. C’est intriguant, je l’avoue.
Màtyas lui apprend qu’il est là pour le guider dans la mort. Celle-ci va durer cinquante-cinq jours avant “le Choix”.
C’est fou ! L’homme a tous ses souvenirs de “vivant”, mais impossible de se souvenir de son nom. Jusqu’au Choix, il n’aura pas de nom, seulement un numéro : 22 327 511 0047.
Oh bon sang ! L’explication de son numéro et le Codex mortem. J’avoue, ça me fait rire ^^
Dix jours plus tard. Le nouveau mort a appris à se déplacer et à maîtriser ce qui sort de sa bouche
Il se pose beaucoup de questions au sujet du Choix et essaie d’imaginer ce que cela pourrait être. Peut-être est-il au purgatoire et on est en train de décider s’il doit aller en enfer ou au paradis ? (Il n’est pas mort vieux dis donc… seulement vingt huit ans ; vraiment pas de bol cette chute quand même).
Oh ! Il a réussi à conjurer son Codex Mortem. Il a ainsi découvert que Màtyas est mort « d’une crise cardiaque tragique durant un coït débridé ». On ne dirait pas qu’il est comme ça pourtant :p
Voilà déjà vingt jours que l’homme est ici. Eh bah… cet endroit est pas ouf en fait. Ils n’ont pas besoin de se nourrir, de dormir, d’aller au toilettes et, frustration ultime pour notre narrateur, son entrejambe est aussi lisse que le crâne d’un chauve… Impossible de prendre du bon temps =)
Trentième jour. L’homme s’est aventuré où il n’aurait pas dû. Màtyas la rattrape et le torture depuis trois jours. Il continuera de le faire jusqu’au son quarantième jour. La vache ! Ce jour, toutes les personnes qui sont mortes le même jour que lui se rencontrent pour assister à une réunion. On n’y apprend pas grand chose de nouveau.
Nous voilà le dernier jour de sa mort. Accompagné de Màtyas, il se rend devant deux hommes (Dieu et le Diable on dirait ; les deux personnes qui font tourner le rouleau à pâtisserie où ils se trouvent tous avant le Choix). L’homme a pris sa décision sur ce qu’il veut pour son après-mort : il veut rester ici et son mentor approuve sa requête, ce qui surprend les deux « juges ». Ohhh il prend la place du diable ?
2e avis de décès.
- Ne pas ouvrir si tu as l'intention de lire le livre:
On retrouve notre homme bien des années plus tard, toujours occupé à faire la même chose : tourner le rouleau à pâtisserie qui fait « vivre » le purgatoire, tête-bêche avec Dieu.
Ah bah comme je pensais l’avoir compris, il est effectivement devenu le nouveau Diable. Il a gardé contact avec Màtyàs qu’il voit régulièrement.
L’homme se fait appeler Belzébuth. Un jour, Dycott, le messager du Très-Haut, vient à sa rencontre. Dieu veut qu’il élimine pour lui un Philistin, le dernier d’entre eux qui refuse de mourir depuis des siècles et des siècles.
Belzébuth négocie alors : s’il accepte, on lui trouve un remplaçant et il retourne flâner au purgatoire. Mais ça ne se passe pas comme ça : il ne peut céder sa place qu’à quelqu’un qui l’a réclamé. De toute façon, il n’a pas le choix. Le voilà donc parti sur Terre avec Màtyas qui n’est pas ravi de faire partie du voyage.
Mais quoi ? Le Philistin qu’ils doivent tuer est Goliath ? De David et Goliath ?
Màtyas décide de commencer par rencontrer la Mort afin de comprendre pourquoi ce Philistin est toujours en vie.
Je ne sais pas trop où cette histoire nous emmène, mais j’avoue que je passe un bon moment
La Mort, qui se fait appeler Morton, leur apprend que Goliath avait bien été tué par David mais qu’il avait refusé de rester mort quand son mentor lui a appris qu’il avait passé l’arme à gauche. Grâce à Morton, Belzébuth et Màtyas savent où se trouve le Philistin. Les voilà donc partis en Palestine.
On ne peut pas dire que Goliath soit ravi de les rencontrer. Il leur propose néanmoins un arrangement : ils affrontent leur champion à l’aube. S’il perd, il deviendra leur esclave. Dans le cas contraire, ils seront le sien. Le problème est que Màtyas et Belzébuth sont seuls. C’est donc le Diable en personne qui va devoir l’affronter.
Alors que Belzébuth se fait malmener, il ose demander à Goliath ce qu’il veut. Se dernier lui répond qu’il veut être considéré et avoir des responsabilités. Est-ce que le Diable a trouvé son remplaçant ?
C’est exactement ça. Même s’il est libéré de sa mission, il a perdu au change : il se retrouve dans le corps dégueu de Goliath.
3e avis de décès
- Ne pas ouvrir si tu as l'intention de lire le livre:
Màtyas apprend à Belzébuth qui est à présent connu sous l’apparence de Goliath que son frère est récemment mort, à l’âge de quatre-vingt-six ans et, tout comme il l’avait été pour lui, il est devenu son guide. Son frère demande à le voir.
Oh… Ils parlent en anglais entre eux. Alors, ça reste de l’anglais simple, mais attention, ça pourrait déranger certaines personnes qui ne parlent pas un mot d’anglais (je pense à mes parents par exemple ???? ).
Oh la pourriture ! À la mort de son frère, il a poursuivi les proprios en justice et il a eu gain de cause. Il les a dépouillés.
Mais le Karma les amis ! Le vieux s’est remis avec une nana de vingt-huit qui l’a empoisonné Comme il n’avait pas d’enfant, c’est cette Ally qui va hériter de six millions d’euros. La vache !
Pour confirmer ses doutes concernant le meurtre, Goliath va récupérer son ancien corps (son vrai corps) et redescend sur Terre pour rencontrer Ally, se faisant passer pour le petit fils de son frère.
La jeune femme lui fait faire un test sanguin pour prouver son lien de parenté et l’invite à l’enterrement.
Finalement, il la confronte. Il apprend alors que l’idée vient d’un certain Gerald qui voulait complètement dépouiller le vieux. Bizarrement, celui-ci est mort le matin même dans un accident de la route… Belzébuth se rend alors au purgatoire pour aller l’interroger.
Maintenant qu’il sait que l’instigatrice du plan était bien Ally, notre narrateur n’est pas près de lui laisser tout le pactole amassé grâce à sa mort. Il redescend une fois de plus sur Terre pour discuter avec Alphonso, celui qui gère la fortune de son frère.
Il propose un arrangement à la jeune femme : il oublie le meurtre si elle accepte de vivre avec lui. Oh le filou !! Il essaie de changer les règles du jeu là
La jeune femme accepte et ils emmenagent ensemble (il lui a tout expliquer sur sa condition de cadavre même si elle n’a pas l’air de le croire).
Vingt jours plus tard, Màtyas vient à sa rencontre. Là-Haut, son plan ne plait pas du tout. Ils veulent savoir combien de temps ça va durer. L’homme lui fait comprendre que… Eh bien qu’il compte bien en profiter. Alors Màtyas vient s’installer avec lui, pour ne pas le laisser affronter seul les “gens” qui viendraient le chercher.
En conclusion
J’ai eu le plaisir de découvrir ce livre lors d’une bêta-lecture. J’avais passé un excellent moment et cela a de nouveau été le cas avec cette relecture. Le style est vraiment plaisant, le ton est léger et, bien malgré nous, on s’attache à 22 327 511 0047, notre narrateur. Ce dernier est accueilli par Màtyas, un Viking, qui lui apprend qu’il est mort et qu’il sera son guide pendant cinquante-cinq jours, jusqu’au Choix. D’ici là, il restera ici, dans une sorte de Purgatoire, “animée” par Dieu et le Diable et un… rouleau à pâtisserie !
Tout le livre est plein d’humour (parfois noir). Le narrateur nous parle sans prise de tête. Ça se lit vite. C’est une “vie après la mort” que je n’avais encore jamais rencontrée et qui, entre nous, ne vend pas du rêve (même si, je l’avoue, je m’amuserai bien à parcourir le Codex Mortem afin de découvrir tout ce qu’il renferme :p).
Quand j’ai lu ce livre pour la première fois, je ne m’attendais pas du tout à ce qu’il soit si léger, si drôle. Pour moi, on allait avoir affaire à un bouquin qui parle de la mort, peut-être de la mise en place d’un processus de deuil… Eh bien en fait, pas du tout ! Le ton du livre correspond parfaitement à la personnalité du personnage nous racontant son histoire (et plus d’une fois je me suis surprise à “pouffer” devant les âneries qu’il raconte).
J’ai tout de même un petit bémol à émettre : j’ai toujours du mal avec le format novella parce que je trouve ça trop rapide J’aime bien quand certains détails sont davantage approfondis et j’aurai bien aimé découvrir un peu plus en détail le “purgatoire”. Mais bon, ce bémol est vite oublié parce que la conclusion a marquée un énorme point :p Je ne l’ai pas vu venir !
En conclusion, si tu veux te marrer un peu avec une histoire loufoque, parfois complètement décousue et bourrée d’humour, fonce ! Je t’assure que tu passeras un bon moment
#fantasy #humour #novella #loufoque #mort #religion
- le Mar 19 Jan 2021, 21:52
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- Sujet: 38 mini westerns (avec des fantômes)
- Réponses: 2
- Vues: 578
38 mini westerns (avec des fantômes)
38 mini westerns (avec des fantômes)
de Mathias Malzieu
Résumé :
Mathias Malzieu est...
Mathias Malzieu est un Petit Prince en anorak. Mathias Malzieu est un homme de goût (il aime les films de Tim Burton, les livres de Richard Brautigan et les disques de Johnny Cash). Mathias Malzieu est un poète. Mathias Malzieu est le chanteur de Dionysos, un groupe de rock qui n'arrête pas de faire des bonds pour avoir la tête dans les nuages et décrocher les étoiles. Mathias Malzieu est un enfant qui a beaucoup appris des grandes personnes.
Mathias Malzieu est un pionnier du mini-western: les rêves sont sa frontière.
Mon avis :
Ce livre est un livre de nouvelles, mais qui ont parfois des liens les unes avec les autres.
On replonge dans l'univers loufoque de Mathias Malzieu, fait de poésie et d'étrangeté.
J'avais hâte de lire ce livre et... je ne l'ai même pas terminé.
Parce qu'une nouvelle de 6 lignes qui dit "voici une femme jolie" (je caricature), ça ne m'emballe pas vraiment.
Une autre qui parle d'un type qui fait du skateboard pour voyager à travers le monde avec des roues de train, c'est sympa pour l'image, mais quand y'a aucune histoire derrière, ça devient vite longuet.
Il semble pourtant que ses lecteurs aient apprécié le livre. Moi non. Je ne l'ai même pas fini.
Je trouve que ça ne raconte rien. C'est des délires un peu bizarres, dans lesquels je n'ai pas du tout réussi à plonger.
Bref, j'ai pas aimé. ^^
#nouvelles #mathiasMalzieu #loufoque #enfance
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