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- le Jeu 18 Aoû 2022, 14:07
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- Sujet: Les Arpenteurs du Ciel – Nibelungen (T.2)
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Les Arpenteurs du Ciel – Nibelungen (T.2)
Les Arpenteurs du Ciel – Nibelungen (T.2)
de Sophie Fischer
/!\ Ce tome est le second et dernier de la saga. /!\
→ Voir la fiche du premier tome.
Résumé :
Alors que Gilburg panse ses plaies, Rikke et Ulrik se rongent les sangs. Gardés captifs par la mairesse de la ville, ils ignorent ce qu’il est advenu d’Answald.
Le sort de frère Eberhard, néanmoins, est scellé : il doit se rendre à Santuario, la Sainte Cité, pour y être jugé par le Pape lui-même. Quatre mois de voyage à travers les montagnes. Quatre mois de dangers au gré du Nibel… Mais le mystérieux étranger venu des cieux offre de conduire le prêtre lui-même, à bord de sa fabuleuse machine volante. Sommés de témoigner pour lui, Rikke et Ulrik s’apprêtent à embarquer, ainsi que Fredericka Selig, la guide qui doit indiquer le chemin à Elias.
Que découvriront-ils, au-delà des nuages ? Le Nibel s’étend-il vraiment sur le monde entier ? Et si le plus grand danger ne se trouvait pas là où ils le pensent ?
Mon avis :
Pas de résumé de ce qu’il s’est passé dans le premier tome. Je pense que si tu as lu celui-ci il y a un moment, ça peut être dérangeant (personnellement, je suis allée relire mon avis détaillé ; c’est plutôt « frais » dans ma tête).
L’histoire reprend quelques jours après l’attaque. Le Nibel a reculé. Il y a des morts, des blessés, des potentiels « possédés ».
Au fil de ma lecture
- Ne pas ouvrir si tu as l'intention de lire le livre:
Frère Eberhard est dans une cellule, prisonnier. Il a décidé de s’isoler et de se plonger dans le silence. Rolala… J’ai peur de ce qui a pu se passer pour qu’il s’impose ça. Hum… La population a peur qu’un autre homme d’Église ne soit manipulé par le Nibel ; alors ils l’ont enfermé.
L’archevêque lui rend visite et il trouve une explication religieuse à l’attaque qu’a subi Gilburg : Dieu les a punis pour avoir accueilli l’étranger avec son appareil volant. Le nom du père Olfram ne sera pas sali… Il va être protégé par l’Église ? Bon cela dit, ce n’est pas vraiment sa faute hein, il était sous l’influence du Nibel.
Oh… Frère Eberhard doit être jugé pour avoir tué l’un des leurs… Il a tué le père Olfram alors… Pfff… l’Église va faire en sorte que personne ne sache ce que le père a fait, mais lui va être jugé pour les avoir sauvés et personne ne le saura…
L’archevêque décide d’envoyer le prêtre à la Sainte Cité, Santuario, où il sera jugé par le Pape lui-même pour son crime.
Rhoooo on ne sait toujours pas si Answald est vivant ou non… J’imagine que oui hein.. Mais comment a-t-il survécu à ses blessures ?
De leur côté, Rikke et Ulrik ont été emmenés par la garde et son enfermés dans une suite de luxe qui appartient à Elfrida Reinberg, la maire de Gilburg. Ils sont eux aussi prisonniers et même si la justification n’est pas claire les concernant, la maire a plusieurs raisons de vouloir les garder enfermés : ils ont tué un homme d’Église haut placé (complices de frère Eberhard), ils en savent trop sur la vague de Nibel qui a envahi la ville et Rikke a insulté Elfrida quand elle est revenue de sa « balade » en dirigeable après l’attaque de la ville.
Voilà quatre jours qu’il sont enfermés sans avoir de nouvelles d’Answald et de Frère Eberhard. Ce dernier a emmené le guide, inconscient, à l’hôpital le plus proche après leur avoir sauvé la vie en abattant Oswald.
Alors que Rikke commence à perdre patience, une lettre de frère Eberhard leur parvient.
Cette lettre inquiète le frère et la soeur concernant leur avenir. Ils ne comprennent toujours pas pourquoi il sont retenus prisonniers et ça angoisse Rikke que personne n’ait de nouvelles d’Answald. Ulrik suggère qu’elle sorte par la fenêtre afin de se rendre elle-même à l’hôpital (peu importe qu’ils soit au 3e étage, ils ont connu bien pire que ça). Pourtant, leur discussion prend une toute autre tournure quand Ulrik annonce à sa sœur qu’il refuse de se faire opérer (alors que c’est la raison de leur présence dans cette ville).
Peu de temps après, une seconde lettre arrive : ils sont tous deux convoqués à la mairie. Frère Eberhard sera également présent. Est-ce qu’ils vont partir tous ensemble à Santuario ? Guidés par Answald qui n’est pas mort ?
Oh tiens ! On retrouve Fredericka Selig, la guide que l’on a rencontré edans le premier tome et qui est “amie” avec Answald. Je sens qu’on va davantage la connaître dans cette seconde partie de l’histoire.
Depuis l’attaque du Nibel, elle n’a plus de nouvelles de son ami et cela l’inquiète. Alors, elle décide d’assister à l’exil des personnes contaminées. Peut-être y verra-t-elle le guide ?
En descendant dans les étages inférieurs, l’ampleur des dégâts est encore bien pire que ce qu’elle imaginait. Il ne reste plus rien des habitations, seulement des gravas.
Arrivée devant les exilés, Fredericka ne voit pas Answald. Impossible néanmoins pour elle de rester là, à assister à la scène. Elle préfère fuir et retourne à son auberge où un homme a déposé un courrier à son intention. Elle aussi a été convoquée à la mairie (serait-ce la guide choisie pour accompagner frère Eberhard ?).
Oh eh bien, Answald est lui aussi à la mairie Il n’est donc pas mort, même s’il a l’air d’avoir des blessures internes (Ulrik perçoit le fait qu’il a du mal à respirer profondément).
Comme je le pensais, ils sont tous envoyés à Santuario, ce qui représente un voyage de quatre mois. Néanmoins, étant donné le titre du livre, est-ce qu’on peut envisager le fait qu’ils s’y rendent en aéronef ?
Eh bien c’est effectivement la proposition que leur fait Elias. Perso, je me méfie de lui… Déjà dans le premier tome j’avais un mauvais pressentiment à son sujet et j’avoue que ça se confirme… Et s’il se proposait de les accompagner pour s’en prendre au pape ? Au lieu de 4 mois par la terre, Elias Nember affirme que le voyage ne durera que quatre ou cinq jours en aéronef. Tout le monde accepte de partir. Ils seront également accompagnés du père Benedikt qui affirme vouloir protéger frère Eberhard (ou en tout cas, il veut faire en sorte qu’il puisse défendre son cas devant le Pape).
C’est Answald lui-même qui a recommandé Dame Selig pour les guider dans les airs (il fallait quelqu’un qui connaît bien le continent mais qui soit aussi neutre dans l’affaire du père Olfram).
J’ai l’impression que la relation naissante entre lui et Rikke est froide non ? Le guide a l’air de prendre ses distances avec elle.
Ah bah non. En fait, c’est un solitaire et il a du mal avec cette amitié naissante entre lui, le frère et la sœur. Et il se pose des questions sur son avenir en tant que guide si Elias partage la technologie des aéronefs : son métier n’existerait plus, ou différemment.
Le jour du départ, tous sont enthousiastes, excités par le voyage dans les airs. Cependant, lorsqu’ils s’aperçoivent que le Nibel recouvre tout, leurs sourires disparaissent…
Étrangement, Rikke, Ulrik et Answald se méfient d’Elias. Tout ce qu’il raconte semble trop beau pour être vrai, et en toute franchise, je partage leur avis / ressenti.
Elias permet à Answald de piloter quelques instants l’aéronef. Le guide partage cette expérience avec sa consoeur et tous deux envisagent leur vie de guide avec cette technologie. Leur métier serait bien différent, moins risqué mais tout aussi excitant. Encore faudrait-il que l’étranger accepte de partager son savoir. Pour l’instant, il est évasif sur le sujet…
Humm.. Quelqu’un dans la famille de Fredericka est une victime du Nibel je pense à ses parents peut-être.
Je ne sais pas ce qu’Elias cherche à prouver à Fredericka… Il fait plonger l’Épervier dans le Nibel et ils se font traquer par une créature.
Heureusement, Elias arrive à manoeuvrer comme il faut l’aéronef avant qu’ils ne soient attaqués. Cependant, il s’est attiré les foudres des deux guides.
Au passage, Answald se fait remonter les bretelles quand Frédérick apprend qu’Olfram lui a brisé des côtes et que ses organes internes sont touchés. La rouquine lui ordonne de se reposer. Tous sont sous sa responsabilité ; il doit obéir.
Alors que le voyage reprend plus paisiblement et que le père Benedikt paraît de plus en plus suspect au yeux de frère Eberhard (il le surveille pour faire un rapport sur lui au Pape à leur arrivée), l’Épervier perd brusquement de l’altitude.
Elias est occupé à faire tenir le cap à l’appareil, alors c’est Rikke qui tente de découvrir les raisons de la panne. Elle découvre quelque chose qui la pousse à croire que l’étranger leur ment et qu’il ne vient pas d’ailleurs, mais des secousses de l’appareil l’empêche d’en dire plus à Answald qui l’avait rejoint.
Les soubresauts sont violents et tous deux sont ballottés d’un côté à l’autre de l’appareil. La jeune femme se retrouve prise au piège dans des engrenages, une des ses jambes bloquée dans les dents d’une roue. Après de nombreux efforts et ignorant la douleur, elle arrive à dégager sa jambe et à rejoindre le guide qui gît, inconscient, non loin d’elle.
Rholala…. C’est stressant et prenant… Je ne sentais pas Elias dès le début…
Answald a du sang qui s’est écoulé de aa bouche et semble blessé à la tempe.
Il finit par se réveiller mais sa respiration est difficile.
L’appareil s’est « posé » on ne sait où, mais a priori, ils ne sont pas dans le Nibel (ce qui n’est pas une mauvaise nouvelle).
Rikke décide d’aller chercher du secours. Tout le monde va bien. Answald et elle sont récupérés et soignés le mieux qu’on le peut. Néanmoins, leurs blessures sont graves et ils vont devoir se reposer. Malheureusement, même si le Nibel n’est pas en vue pour le moment, ils ne pourront pas rester sur place au risque de se faire submerger par la prochaine vague. Elias est soit disant en train de tenter de réparer l’appareil.
Je suis curieuse de savoir ce qu’a appris Rikke. Mais avec tout ce qu’il s’est passé, elle a oublié. Je la comprends :/
Fredericka prend alors une décision douloureuse : ils vont quitter l’Épervier en laissant Rikke et Answald derrière eux. Ils iront chercher de l’aide et reviendront les secourir. C’est leur meilleure chance de survivre.
Ulrik refuse de laisser sa soeur. Frère Eberhard l’emmène alors de force
Ah bah comme je le pensais, fredericka a bien perdu quelqu’un dans le Nibel : son mari.
Sur leur route dans la montagne, le petit groupe tombe sur un cadavre, celui d’un Nibelung.
Urilk continue d’avoir des doutes sur Elias. En général, il arrive à capter l’aura des gens, ils sait les percevoir. Mais pour l’étranger, impossible. C’est comme si un filtre l’en empêchait. Urilk pense même qu’Elias Nember est une sorte de fantôme. Et si c’était un Nibelung qui avait évolué ? Ou le Nibel lui-même ? Ou l’inventeur du Nibel ?
Ce qui est plaisant avec l’écriture de ce livre, c’est que Sophie arrive à mettre en avant, à chaque chapitre, un personnage, à le faire devenir le personnage principal de l’histoire le temps de quelques pages. Tout en ayant un narrateur extérieur et omniscient, on en apprend plus sur chacune des personnes prenant part à l’expédition.
Tiens tiens tiens. Fredericka se mettrait-elle à avoir, elle aussi, des doutes sur Elias ? Il est vraiment étrange, d’autant plus qu’il semble vraiment touché par le sort qui a été réservé aux exilés. J’ai vraiment du mal à le cerner :/ Et le fait qu’il affirme qu’il connaît mieux qu’eux les Nibelungen, comme s’ils les avaient étudiés de près…
C’est Ulrik qui alerte le groupe : le Nibel est en train de grimper. Même s’il ne peut pas le voir, il l’a senti. Pris de panique, tout le monde essaie d’atteindre les hauteurs. Fredericka n’avait pas anticipé cette montée de la brume : aucun signe ne l’avait annoncé. Comment Ulrik l’a-t-il su? Est-ce que l’attaque qu’il a subi a créé un lien entre lui et le Nibel ? Est-ce qu’il a un don ? J’avoue qu’il est intriguant en plus d’être attachant.
Malheureusement, leur course ne se passe pas comme prévu et Fredericka et Ulrik sont pris au piège dans la brume. D’ailleurs, à bout de souffle et blessée, la guide s’évanouit.
On retrouve Rikke et Answald à bord de l’Épervier. Eh bien ils sont tous les deux mal en point et sujets à une forte fièvre. Le Nibel les a engloutis depuis plus de 8 heures, mais Rikke ne panique pas. Elle affirme que l’aéronef est équipé pour survivre au Nibel. Cependant, étant donné qu’on suit Answald dans ce passage de l’histoire, on entend pas l’explication de la jeune femme : il s’endort avant.
La petite blonde n’a pas l’intention de rester là sans rien faire. Elle veut essayer de faire redémarrer l’aéronef. On apprend alors qu’elle a découvert qu’Elias utilise le Nibel en le modifiant pour s’en servir comme carburant. Elle pense aussi qu’il a menti en disant venir d’un autre continent : pour piloter un engin pareil, il faut au moins être deux : un qui tient la barre et un mécanicien pour intervenir en cas de panne. Elias n’a pas pu voyager seul. De plus, c’est comme si l’étranger connaissait parfaitement leur coutume et habitude de langages. Il n’avait commis aucune erreur. Pas de doute, il vient de leur propre région et s’était fait passer pour un étranger pour faire accepter sa machine.
Toutes ces révélations renforcent la détermination de Rikke, et ça fait fondre Answald. Ils échangent enfin un baiser :p
Quand Fredericka reprend connaissance, elle et ses compagnons ont été emmenés dans une cité inconnue, creusée dans la roche. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai l’impression que c’est d’ici que vient Elias.
Tout le petit groupe parcourt la ville à la recherche d’informations. Une fois encore, Elias semble à son aise dans cet endroit… Il est vraiment étrange.
Ici, les prêtres ne sont pas du tout les bienvenus et les habitants sont méfiants envers le frère Eberhard et le père Benedikt. D’ailleurs, ils se font prendre à partie et subissent des jets de pierre. Ulrik les invite à fuir : les gens ne sont pas dans leur état normal.
Une femme leur vient en aide et elle semble en « contact » avec le Nibel, comme tous les gens de la cité on dirait… Et peut être même comme Ulrik…Ils entendent des voix, des murmures. Est-ce que le jeune aveugle va devenir un Nibelung ?
Wah ! J’apprécierais Ulrik mais là, j’avoue que je le trouve un peu gonflé dans ce qu’il dit : accuser sa sœur pour ce qui lui arrive, c’est un peu abusé quand même !
Après une discussion avec la guide, Fredericka a compris qu’Ulrik est condamné. Elle lui promet de récupérer Rikke et qu’il pourra lui dire au revoir. Rolala… Je sens que ce tome va être déchirant.
Elias finit par avouer à ses compagnons de route qu’il leur a menti. Il affirme également avoir appris à contrôler le Nibel. D’ailleurs Ulrik en fait les frais : le pilote arrive à le manipuler, ainsi que les gens de la cité qui fument du Nibel. Heureusement, l’aveugle résiste mais pas les habitants exilés. Il débarque dans la maison de leur hôte, près à s’en prendre à Fredericka.
Aidés par frère Eberhard, la guide, Ulrik et le père Benedikt prennent la fuite par les toits. Mais le père glisse et se retrouve englouti par la marée humaine qui tente de les attraper. Impossible pour Fredericka et Eberhard de le sauver.
Le petit groupe trouve une issue dans un tunnel creusé à même la roche et fermé par un volant de métal. Ils s’y engouffrent et frère Eberhard referme derrière eux en serrant le volant aussi fort qu’il le peut. Ils finissent par trouver la sortie. Mais le temps presse. Ulrik commence déjà à se transformer et le Nibel l’appelle. Combien de temps arrivera-t-il encore à tenir ? C’est peut-être Rikke qui va venir les récupérer si elle arrive à réparer l’aéronef non ? Mais elle devra abandonner son frère à peine retrouvé ? J’ai pas vraiment envie de me préparer à ça…
Malheureusement, seulement quelques minutes plus tard, ils sont attaqués par les habitants de la cité qui les ont traqués. Frère Eberhard et Fredericka font tout leur possible pour sauver leurs fesses.
Fiou ils se font massacrer… Alors que tout semble perdu, l’Épervier s’envole dans le ciel. Rikke va les sauver ! Je m’en doutais !
Tiens, cette fois c’est Elias que nous suivons et nous en apprenons un peu plus sur lui et son lien avec l’Esprit du Nibel. On apprend que lorsque lui et ses parents ont été chassés par le curé, ils ont été pris au piège par la brume. Les Nibelungen ont déchiqueté ses parents, mais, au moment de s’attaquer à lui, ils se sont immobilisés et lui ont laissé la vie sauve. Il a ensuite été guidé par l’Esprit jusqu’au Azásó, aussi appelée le Terrier, une cité qui regroupent des personnes condamnées à l’exil et qui est bâtie sous la montagne.
Eh bien…C’est un chouilla complexe tout ce qui se passe dans le Nibel. J’espère qu’on en saura plus sur lui…
En tout cas, une chose est claire ; l‘objectif d’Elias est de détruire Santuario. Il aurait également aimé « convertir » Rikke, Ulrik, Frédérick, Answald et les deux hommes d’Église à la pensée de l’Esprit, malheureusement, la panne de l’engin les a surpris. Il n’a pas su la réparer et la guide a pris les choses en main trop rapidement. Il a été pris de court.
Mais Fredericka l’a repoussé et maintenant, il n’est plus que colère. L’Esprit a répondu à son appel pour se venger.
Rho… Answald et Rikke ont pris des risques pour réparer l’aéronef. Déjà, ils ont mis de côté leur santé et ont peut-être fait trop d’efforts. Ensuite, le guide a dû sortir dans le Nibel pour retirer les mâts cassés, s’exposant à la brume.
Tous sont sains et saufs à bord de l’aéronef (bien que blessés). Answald comprend tout de suite qu’il ne reste pas beaucoup de temps à Ulrik quand il remarque la couleur de ses iris…
Cependant, pas le temps d’en discuter : il sont glacés d’effroi devant le spectacle qui s’offre à eux. Des centaines de Nibelungen se dirigent vers Santuario, guidés par un homme : Elias. Il n’y a pas une minute à perdre, il faut vite foncer vers la cité !
C’est impressionnant comme Rikke a pris possession de l’aéronef. C’est comme si elle l’avait construit, comme si elle y évoluait depuis toujours Et je crois que ça lui plaît en plus. Et c’est un peu la même chose pour Answald. S’ils s’en sortent, je sens que ces deux-là vont filer dans les airs
Elias n’est pas prêt à se laisser faire. Il charge les Nibelungen d’empêcher l’aéronef de les poursuivre.
Bon sang ça devient tellement stressant. Fredericka veut utiliser Ulrik pour essayer de faire en sorte qu’il manipule les Nibelungen et les dirige vers un autre endroit. Ça semble fonctionner mais il est de plus en plus mal en point. Answald, lui, a dépensé trop de force en tentant de piloter l’aéronef ; il s’effondre. La guide prend alors la barre et demande de l’aide à frère Eberhard qui était avec Rikke dans la salle des machines.
Je sens que Fredericka ne va pas survivre. Elle n’a rien à perdre alors elle prend des risques inconsidérés… Elle quitte le pont le l’aéronef et saute de Nibelung en Nibelung jusqu’à atteindre celui sur lequel se trouve Elias. Mais impossible de le combattre. C’est frère Eberhard lui-même qui la ramène dans l’appareil.
Oh là attend… Rikke explique pas mal de choses au frère Eberhard. Elle n’a quand même pas l’intention de plonger dans le Nibel avec Ulrik ? Elle ne va pas se sacrifier ? S’oublier une fois de plus ?
Ah non… C’est plutôt la blessure de sa jambe qui empire… D’ailleurs, à peine le prêtre l’a-t-il ramené à sa chambre qu’elle s’évanouit.
L’aéronef arrive à Santuario où le Nibel commence déjà à envahir la cité. Answald pose l’appareil et Fredericka, Eberhard et Ulrik en sortent. L’aveugle use ses dernières forces pour empêcher les Nibelungen d’avancer. Cependant sa transformation est proche et il ne tiendra pas longtemps.
Le Nibelung sur lequel se trouve Elias apparaît. Ulrik est projeté quelques mètres plus loin et reste sur le sol (inconscient ? Mort ?). Rikke et Answald se précipitent vers lui.
Seule face à la créature qui est suivie par d’autres, Fredericka brandit son arme. Geste désespéré ? Je pense oui… Je ne vois pas comment ils peuvent s’en sortir… Même si frère Eberhard a l’air hyper fort, ça me paraît compliqué… Sauf s’il arrive à reproduire le même exploit que celui du père Olfram pour sauver Ulrik et Answald du Nibel…
Oh bah c’est exactement ce qu’il se passe J’ai l’impression que Dieu et l’Esprit se confrontent.
Answald est lui aussi lié au Nibel depuis son attaque. Lui aussi entend l’Esprit. Pourtant il semble « normal ».
Wah cette fin… Frère Eberhard irradie toujours de la lumière divine. Answald en profite pour s’en prendre à Elias et, grâce au fusil de Fredericka (qui a été assassiné), il est blessé Elias au thorax. Cependant, ce dernier résiste. C’est alors qu’intervient Ulrik. L’aveugle est quasiment transformé. Il attrape fermement Elias et les deux basculent dans le vide… Il s’est sacrifié pour les sauver J’espère que Rikke a pu lui faire ses adieux, parce qu’elle est inconsciente à cet instant.
La lumière s’éteint et frère Eberhard tombe au sol. Autour d’eux, le Nibel reprend sa place.
Answald cherche Rikke, mais impossible de la trouver dans la brume. L’Esprit lui dit qu’il va mourir (par le Nibel ou ses nombreuses blessures?), puis il s’évanouit à son tour.
Rikke se réveille au sanctuaire de Santuario où les prêtres les ont soignés. Elle souffre mais est bien vivante.
Quand elle aperçoit Fredericka, tout lui revient en mémoire et elle est inconsolable d’avoir perdu son frère.
Answald est grièvement blessé et, pour le moment, il ne s’est toujours pas réveillé.
Rikke, quant à elle, a perdu sa jambe blessée.
Cette fin est horriblement triste…
Rikke baisse les bras. Elle refuse de se nourrir, de boire, de vivre ainsi.
Frère Eberhard a rompu son vœu de silence et a tout raconté au Pape, puis il s’est lui-même exilé, de peur de finir comme le père Olfram.
Néanmoins, la jeune femme retrouve une raison de survivre quand Answald la rejoint. Ils se soignent ensemble, guérissent ensemble, apprennent à vivre ensemble.
Une fois remis de leur blessure, chacun repart. Fredericka repart sur les routes à la recherche de frère Eberhard et de son époux disparu (elle a l’espoir qu’ils soit dans une des cités cachées dans les montagnes). Rikke et Answald, quant à eux, prennent la direction des airs, à bord de l’Épervier. Ils veulent découvrir le monde, voir l’océan et pourquoi pas, au-delà…
En conclusion
Que dire de ce tome… Pour commencer, je te conseille, si possible, d’enchainer les deux tomes. Il n’y a pas de résumé du premier livre et pas vraiment de flash-back de ce qu’il s’est passé précédemment. L’histoire s’enchaîne et reprend quelques jours après la fin du premier tome (pour le coup, je ne peux pas trop te raconter ce qu’il s’y passe sans te spoiler :p Sache juste que dans le premier tome, on voyageait par la terre, cette fois, ça sera dans les airs (mais ça, on l’avait deviné avec le titre non ? :p)).
Dans ce livre, on découvre un peu plus un personnage qu’on a rencontré dans le premier tome et sur lequel on ne s’était pas trop attardé. Cette fois, ce personnage est au cœur de l’histoire Enfin… Quand je dis “au coeur”, c’est plus compliqué que cela :p Eh oui, ici, il n’y a pas de personnage central. Chaque chapitre est focalisé sur un personnage en particulier. On se retrouve, le temps de quelques pages, avec une personne qui devient le centre de l’histoire. On connaît ses impressions, ses pensées, … Cette façon d’écrire est hyper intéressante et, mine de rien, ça n’a pas dû être facile de changer si souvent de point de vue (l’histoire est racontée par un narrateur externe, mais tu arrives toujours à rapidement deviner qui tu vas suivre dans ce chapitre).
L’histoire est prenante, stressante et angoissante. Je ne te raconte même pas toutes les émotions par lesquelles je suis passée dans les dernières pages. La fin qui est palpitante ! C’était impossible pour moi de lâcher le livre à partir du moment où le voyage reprend et, j’avoue que j’ai été ravie de voir que Sophie n’a pas hésité à malmener ses personnages (bah oui… J’aime quand tout n’est pas “facile” pour les héros :p ).
Une part de moi a apprécié cette fin qui clôture bien la saga, et une autre part de moi (certainement plus importante) est tellement frustrée ! L’univers est riche et complexe. J’ai eu l’impression qu’au travers de ces deux tomes, on m’a juste posé les bases de l’univers. Sauf que non, il n’y a pas de suite de prévue. Pourtant, il y a tellement de choses à exploiter ! La création du Nibel, l’avenir des personnages, pourquoi pas le passé de certains personnages, la création d’une première cité “cachée”, … Si un jour Sophie décide de revenir dans l’univers de Nibelungen, elle a de quoi écrire une suite ou un spin-off (et perso, je signe tout de suite !).
#DarkFantasy #mystère #fantastique #pouvoir #don #aveugle #saga #brume #Nibelungen
- le Mer 29 Juin 2022, 15:08
- Rechercher dans: En cours sur Wattpad ou Fyctia
- Sujet: [Wattpad] Odeurs - Laura Rowley (T.1)
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- Vues: 448
[Wattpad] Odeurs - Laura Rowley (T.1)
Odeurs - Laura Rowley (T.1)
de Julie Saurel
Note de l'auteure :
Pour commencer, cette trilogie s'inscrit dans l'univers d'Alicia Smith (une première trilogie terminée et éditée aux éditions Bookmark). Si elle découle directement des évènements survenus dans Alicia, cette histoire peut se lire de manière indépendante (donc, non, pas besoin d'avoir lu les Alicia pour tout comprendre).
Résumé :
Laura, une jeune femme de 26 ans, a arrêté ses études de médecine à la mort de ses parents pour reprendre leur boutique de fleurs et s'occuper de son grand-père. Une vie normale jusqu'au jour où un homme blessé s'écroule sur sa voiture.
Entre découverte d'un monde surnaturel, qu'elle n'ignorait peut-être pas tant que cela, et secrets de famille, Laura va devoir faire face à de nombreuses interrogations dangereuses.
Comment je l'ai découvert ?
La trilogie Alicia Smith m'a plu, qu'il s'agisse de l'univers ou encore des personnages. De plus, j'aime la plume de Julie.
Quand j'ai appris qu'elle avait décidé d'étendre l'univers d'Alicia avec d'autres arcs narratifs, je me suis dit qu'il était impossible que je passe à côté. Du coup, me voilà à découvrir l'histoire de Laura Rowley :p
Le lien Wattpad
L'histoire est disponible ici
A l’heure où j’écris ce message, Julie publie deux chapitres de cette histoire par semaine.
#bitlit #fantastique #loupGarou #magie #pouvoir #romance #romanceParanormale #urbanFantasy #vampire
- le Dim 08 Mai 2022, 13:51
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- Sujet: La Gemme du Temps – Alécanthia (T.2)
- Réponses: 0
- Vues: 315
La Gemme du Temps – Alécanthia (T.2)
La Gemme du Temps – Alécanthia (T.2)
de Sophie Owl
/!\ Ce tome est le second de la saga. /!\
→ Voir la fiche du premier tome.
Résumé :
« Le temps et l’espace mêlés dans un même sang. Tout se retournera, tout reviendra. » Vlarran n’était plus le même depuis le jour où il avait touché la gemme, tous le croyaient fou, ceux qui connaissaient ce langage et cette inscription plus particulièrement. En effet, cela n’avait aucun sens tout comme les autres prophéties qu’il avait annoncées par la suite. Un mal qui frapperait l’Alécanthia, la légende d’un Élu, d’un protecteur.
Ce ne fut que des siècles plus tard que ces deux Sages comprirent qui était la menace. Ils ne regrettèrent alors pas d’avoir mis en place des Érudits, enfin pas tout à fait… Du temps a passé depuis qu’Eïmina a appris qu’elle était l’Élue. La tension monte. Même si Xortius n’a toujours pas montré son visage, ses offensives se sont répétées. Le temps est donc compté pour notre héroïne qui doit alors s’empresser de découvrir les derniers Érudits qui l’accompagneront dans sa quête et par la même occasion rallier d’autres peuples à son combat.
Et si Mina n’était pas à la hauteur du fardeau qui pèse sur ses épaules ?
Mon avis :
À la fin du premier tome, Eïmina n’avait pas encore trouvé tous ses Érudits. Il lui manque celui qui symbolise la Pureté et celui qui symbolise la Tempérance.
Son protecteur, Sviden, est mort (en tout cas sa forme physique) et son esprit s’est réincarné en saule pleureur.
L’Élue a récupéré un grimoire ancien qui paraît vide et, alors que le Sage Grofus allait lui expliquer ce que contenait le livre, ils sont convoqués par le couple royal elfique : Xortius est de retour et a assiégé une ville. Les elfes décident de monter une armée pour défendre leur monde.
Voilà donc où nous en sommes.
Au fil de ma lecture
Le livre s’ouvre sur un prologue qui se passe il y a des millénaires, quand les différents peuples ont commencé à investir le monde.
- Ne pas ouvrir si tu as l'intention de lire le livre:
- Les nains ont entendu crier dans leur mine mais, au lieu de trouver celui qui a hurlé, ils ont découvert une drôle de pierre rouge. En revanche, aucune trace de leur ami…
On s’imagine qu’il s’agit de la pierre de la couverture : la gemme du Temps. A cette époque déjà, les peuples vivaient en harmonie. Ainsi un elfe prend le rubis et, accompagné de Teulior, le roi des nains, il se rend auprès des siens afin d’avoir l’avis des plus “vifs” d’entre eux.
Deux cents ans plus tard, on ne sait toujours pas ce qui est arrivé à Minvorg, le nain qui a disparu. La longévité des Hommes étant nettement inférieure à celle des elfes et des nains, ils oublièrent l’existence de la gemme. Mais pas les deux autres peuples qui continuaient à s’interroger.
Pour canaliser l’énergie du rubis, les elfes ont créé trois anneaux qui gravitent autour de lui.
Vlarran, l’elfe qui a touché la gemme semble avoir changé depuis. Il prononce des paroles incomprises de tous et fait des prophéties. Et si, en touchant la pierre, il avait eu des visions du futur ? Un Sage pense comme moi :p
Pour la protéger, la gemme du Temps est cachée en Maïstilys, le monde magique. Cependant, quand Vlarran la touche de nouveau, il a une vision : un homme va se servir d’elle pour répandre le mal… L’elfe et les deux Sages décident de séparer les éléments qui constituent la pierre et de la dissimuler au reste du monde dans un endroit connu d’eux seuls (uniquement les Sages, parce que Vlarran a disparu quand il a voulu prendre la pierre à mains nues).
Grâce à l’indication de l’emblème que porte l’homme dans la vision, les deux Sages savent, bien des années plus tard, de qui il s’agit : Xortius.
C’est bizarre… J’ai l’impression qu’un des deux Sages est Grofus, l’Érudit qui avait choisi Xortius en Apprenti (l’autre doit probablement être Somfus). Cela dit, pourquoi avoir pris ce risque s’il connaissait la prophétie ? Pour l’avoir à l’œil ? Pour espérer le faire changer ?
Remarque à la relecture de mes notes : en fait, en y réfléchissant, je me suis rendue compte que les Sages n’ont pas vu le visage de l’homme dans la vision. Seul Vlarran pourrait le reconnaître. Somfus et Grofus ne connaissent que l’emblème et, à l’époque où Xortius était un Apprenti, il ne l’avait pas :p
Du coup, je comprends mieux pourquoi Grofus se sent tellement impliqué et qu’il culpabilise.
Première partie : Détermination
Comme je le pensais (et je l’avais dit dans ma conclusion du premier tome), on fait un saut dans le temps de plusieurs mois, quasi un an.
Une barrière de protection a été mise en place autour de Palasthia et Xortius attend… J’ai l’impression qu’il fait une partie d’échec, qu‘il pose ses pions pour mieux attaquer…
3 camps ont été mis en place et chacun d’eux est géré par des Érudits. Owney, Durlat et Eïmina se trouvent dans celui du nord, Laïta et Zaltet dans celui du sud et Prilyon est restée dans celui de Palasthia pour aider les elfes sur place.
Attends… Quoi ? Aìmeygor n’est pas le fraternel d’Eïmina ? Oh… C’est triste… En tant qu’Élue, elle peut se lier avec n’importe quel être vivant, mais il semblerait que j’aimais elle ne connaîtra le lien fort qu’une personne a avec son fraternel
Eïmina a trouvé d’autres dragons qu’elle a réussi à éveiller (pour protéger leur espèce, elle et les Érudits ont choisi de n’en éveiller que 7) et c’est Aìmeygor qui se charge de les former.
La jeune femme a un lien particulier avec chacun d’eux et arrive même à capter leurs pensées (pour le moment, elle garde cette compétence pour elle ; seul Durlat est au courant (mais il est télépathe, alors elle n’aurait pas vraiment pu le lui cacher :p)).
Ces nouveaux dragons ont trouvé leur fraternel. Les dragonniers et leurs montures s’entraînent un peu à l’écart pour ne blesser personne.
Mina s’est mise à l’écart durant l’année qui s’est écoulée. Elle a du mal avec certains comportements, mais elle a aussi découvert sur qui elle peut compter, comme Owney par exemple (*_*). Elle semble avoir grandi, mûri et surtout pris confiance en elle et en son statut d’Élue Elle ne lâche rien et veut montrer aux autres qu’elle n’a pas été choisie par hasard.
Mine de rien, le retour de Xortius a du bon : les Elfes et les Humains vivent de nouveau ensemble, en harmonie, malgré la peur de la guerre.
Somfus et Grofus (ils n’ont pas de noms d’elfes mais de nains je trouve :p) arrivent sur le campement du nord, accompagnés des trois autres Érudits. A mon avis, ils ont quelque chose d’important à annoncer. Eïmina n’a même pas le temps de profiter de ses retrouvailles avec Laïra et Prilyon qu’elle n’a pas vu depuis un an.
Pour les deux Sages, il faut que Mina trouve les deux érudits manquants ; elle doit donc reprendre la route (mais Sviden n’est plus là pour la protéger ???? ). Elle sera accompagnée de Durlat et de Prilyon. De ce fait, les cartes sont redistribuées pour la gestion des camps : Laïra ira à Palasthia, Zaltet au sud et Owney restera au nord. Son dragon ne pourra pas l’accompagner.
Les deux Sages l’informent ensuite qu’en plus de trouver les Érudits, elle devra tenter de rallier d’autres peuples à leur cause, et elle devra aller récupérer la gemme du Temps chez les Nains, dans la grotte du Crâne. Ils lui donnent des indications et un coffret dans lequel placer le rubis. Somfus et Grofus les préviennent qu’ils ne doivent en aucun cas toucher la pierre, mais ils restent vague, puis repartent dans un portail. Tous comprennent qu’ils n’ont pas été tout à fait honnêtes avec eux. Que cachent-ils ? Pourquoi ?
Eïmina, Durlat et Prilyon se mettent en route. À peine ont-il franchi le dôme protecteur qu’un phoenix, mal en point, tombe du ciel. Il s’agit de Vultur le fraternel de Laüstig (comme par hasard… pile poil à ce moment… je ne le sentais pas dans le précédent livre).
En lisant dans les pensées de l’animal, Durlat et Mina découvrent que Xortius a dû se construire une forteresse et que Laüstig y est prisonnier. L’Élue veut lui venir en aide.
Durant leur voyage, Prilyon se rend compte qu’Eïmina a caché à tous ses compétences en termes de télépathie. Il comprend pourquoi elle l’a fait et ne lui en veut pas.
Ils rencontrent ensuite un premier peuple, les Maïkya, aussi connu sous le nom de “fées des prés“.
Fiou… C’est quand même compliqué le rôle de Mina… Je pensais qu’en tant qu’Élue elle ne connaîtrait jamais le lien qui relie quelqu’un avec son fraternel, pourtant, il semblerait que c’est le contraire. D’une certaine façon, chaque être vivant est son fraternel. Elle peut lire dans les pensées et ressentir les émotions des personnes qui l’entourent (ça veut dire qu’elle sait tout ce que ses camarades pensent ? Voilà peut-être pourquoi elle a été déçue de certaines personnes…).
La petite fée les emmène dans une plaine où toutes sortes de créatures rares vivent en harmonie. J’avoue que certaines descriptions me font penser à des pokémons :p Durlat ne sait plus où donner de la tête. Découvrir cet endroit féerique et en apprendre autant sur des créatures inconnues est une aubaine.
Quand le reste du groupe des Maïkyas rejoint la petite fée, ils guérissent, tous ensemble, Vultur. Puis des guerriers ailés les emmènent devant leur chef, Shaïnok, qui va décider de leur sort.
Une fois devant lui, le collier d’Eïmina se met à vibrer et un faisceau noir part en direction de Shaïnok. Ce serait un Érudit ? Celui de la Tempérance (entre les 2 restants, c’est celui qui semble le mieux correspondre à son caractère) ? Il refuse cependant de prendre part à leur quête et annonce ses ordres : ils ont libre accès à son territoire, mais ils ont interdiction de partir.
Pour essayer de faire changer d’avis leur chef, Eïmina, Durlat et Prilyon “jouent” une conversion pour attirer l’attention des Arkanoks, le peuple qui vit ici. Et ça marche. Bien vite, Shaïnok revient à leur rencontre, mais pour les arrêter ! Suspendus dans des cages en haut d’un arbre, ils y passeront la nuit. Un des gardes les informe que leurs paroles ne sont pas vaines ; son chef va y réfléchir, il veut le meilleur pour tout le monde. Ils doivent être patients…
Rhoooo Mina a laissé quelqu’un au camp qui lui manque. Owney ? Ils avaient l’air vraiment proches au début du livre (et j’avoue que depuis le début des aventures de l’Élue, je les imagine ensemble).
Le lendemain, quand Shaïnok vient les réveiller, il est étonné qu’ils ne se soient pas enfuis. Mina lui redit qu’ils ont besoin de lui et de son peuple, qu’il a été choisi par les cristaux de la Destinée. Le chef décide alors d’accepter son rôle d’Érudit. Cependant, il ne peut pas partir en laissant sa contrée sans protection. Il accompagnera donc Eïmina et ses amis une fois qu’ils auront fini leurs deux missions. En attendant, il reste là pour préparer son départ.
Le petit groupe prend la direction d’un bâtiment en ruine. Ils sont dans la contrée des Six, le lieu où vivaient les anciens mages qu’on avait nommé les Érudits (oh… ceux du prologue du premier tome donc ?). Le septième Érudit était leur chef, il vivait à Palasthia avec le roi.
La contrée est quasi déserte. A l’heure actuelle, elle est uniquement peuplée de milvions, des créatures magiques qui construisent et fabriquent des choses. L’Élue et ses 2 amis les invitent à continuer de reconstruire la contrée des Six.
Ils reprennent ensuite la route et traversent le Cimetière des Deux Guerres, en pleine nuit. L’endroit est lugubre et fout clairement la trouille : une épaisse brume s’élève du sol. Les trois amis décident donc de se séparer pour mieux progresser. Je n’aime pas ça…
Eïmina croit alors apercevoir et entendre Sviden. Elle ne réfléchit pas et court dans sa direction. Elle doit savoir si c’est bien lui.
Quand elle le rattrape, il lui sourit, puis Mina est tirée en arrière par des ronces et la vision de son protecteur disparaît. Quand elle relève la tête, elle est face aux tombes de ses parents.
En réalité, le cimetière est ensorcelé : il fait voir aux êtres tourmentés les peurs de leur vie. Pour Mina, il s’agit de la mort de ses proches.
Heureusement, soutenue par ses amis, la jeune femme arrive à dissiper l’effet du sortilège sur elle et ils trouvent le chemin de la sortie. Elle promet de revenir pour lever le sort, puis, ils reprennent leur voyage.
J’aimerai qu’on m’explique un truc : comment un loup peut escalader le pic abrupt ? :/ (Logiquement je ne reviens pas sur mes notes une fois ma lecture finie, mais j’ai eu l’explication de l’auteure, du coup, je me dois de te la partager : dans ma tête, abrupt = escarpé, impraticable ; pour Sophie, la montage est effectivement raide mais il y a un moyen de l’escalader ou de cheminer (elle m’a conseillé d’aller taper montagne abrupte sur google :p )).
Du coup, j’ai ma réponse, donnée par l’auteure elle-même, je cite “Comme n’importe quel loup je pense ^^ Abrupt mais pas impraticable puisque même les trois “humains” le font ^^”. Fin de citation :p
Mina est vraiment une poissarde :p Alors que le petit groupe fait une pose dans un renfort de la montagne, trois soldats de l’armée de Xortius passent par là. Prilyon les rend invisibles, mais Mina éternue -_-‘ Les soldats s’arrêtent et scrutent les environs. La jeune femme se souvient alors d’une demande de Grofus et Solmfus et envoie les 3 soldats dans une prison elfique. Ah ah ! D’ailleurs, en parlant de cette prison, Mina repense aux nymphes et au soldat qu’elle avait sauvé. Pour moi, il est l’Erudit de la Pureté et j’avoue que le fait qu’on en reparle, ça me conforte dans cette idée :p
Grâce à un passage dans une grotte, ils atteignent une sortie et se retrouvent devant un château. Les pouvoirs de Mina sont impressionnants. Elle peut se connecter à n’importe quel animal et voir à travers ses yeux Grâce à un hibou qui vole dans le coin, elle a une description précise du château.
Eïmina, Durlat et Prilyon décident d’y pénétrer et laissent leur fraternel dans la grotte.
La porte du bâtiment n’est pas fermée. Tout est calme. J’avoue que ça me paraît trop facile… J’ai la sensation que c’est un piège :/
En réalité, c’est facile en apparence. Les dons télépathiques de Mina et de l’elfe sont bloqués, de même que la magie.
Quelqu’un joue avec eux : les portes sont closes, sauf l’une d’elles. On décide pour eux de l’endroit où ils doivent se rendre… Je n’aime vraiment pas ça…
Ils se dirigent vers un escalier qu’ils grimpent. Arrivés à l’étage du château, ils sont gênés par une odeur nauséabonde et une substance gluante et verdâtre au sol. Ils s’arrêtent devant une porte sous laquelle ils aperçoivent de la lumière et une ombre passer. Quelqu’un se trouve dans la pièce. Il s’agit d’une lutine de maison, enchaînée à un mur. Elle a été créée par Xortius lui-même pour ne connaître que lui comme seul et unique maître.
Eïmina arrive enfin à bout de la serrure qui ferme la chaîne à la cheville de la lutine quand 4 soldats apparaissent dans l’encadrement de la porte.
Non sans effort, les 3 amis arrivent à tuer les soldats. Cependant, Prilyon a été blessé en protégeant la lutine et maintenant, les soldats savent où ils sont.
L’ancienne prisonnière les emmène dans un passage secret qu’elle seule connaît.
La lutine, qu’ils ont décidé de baptiser Neeltia, les emmène dans des cuisines qui ont l’air abandonnées, non loin des geôles.
Ils finissent par retrouver Laüstig qui,malgré l’absence de magie, arrive à contacter Vultur. Le phoenix et la chimère de Prilyon arrivent pour les sauver et les ramener à la grotte. Cependant ,pour leur faire gagner du temps, Neeltia se sacrifie, mourant sous les coups des soldats pendant que le petit groupe prend la fuite.
Une fois à l’abri, Eimina soigne Prilyon et ils décident de vite reprendre la route. Cependant, ils ne font pas confiance à Laüstig (et moi non plus). Les pensées du jeune homme sont floues et ils ont du mal à y accéder, comme s’il essayait de cacher quelque chose (tout comme Mina l’a déjà évoqué concernant Vultur).
La mère et la sœur de Laüstig ont été enlevées par Xortius. Il pensait les retrouver dans le château, mais c’était un piège. Depuis, le jeune homme veut se venger du Mage noir. Moué… Y a un truc qui cloche dans son histoire. Pourquoi Xortius kidnapperait deux femmes ? Je suis sûre que Laüstig travaille pour lui, que c’est un espion…
Quoi qu’il en soit, ce n’est pas le moment de creuser davantage. Les soldats les traquent toujours et ils se rapprochent. Le groupe court en direction des marécages de Manéas.
Une fois sur place, ils sont emmenés par le monstre qui garde les lieux auprès de Pourkoï, un vieil homme, chef de la famille tsigane qui vit dans le marais.
Parmi le groupe de tsiganes se trouve Faë, une diseuse de bonne aventure. Elle dit à Prilyon que l’amitié n’est parfois rien de plus et qu’il trouvera l’amour lorsqu’ils seront six (six quoi ? Lorsque les six Érudits sur sept seront réunis ?).
Après une fête et un moment de détente, les voyageurs dorment sur le camp tsigane ; un repos bien mérité.
Le lendemain, Mina discute avec Pourkoï. Il lui apprend qu’elle peut avoir confiance en Laüstig. Il a discuté avec Faë la veille et il n’est apparemment plus une menace. Je suis persuadée qu’il bossait pour Xortius et qu’il a décidé de retourner sa veste…
Le chef des tsiganes lui apprend également qu’il y a peut-être un peuple sous-marin qui pourrait se rallier à sa cause, ainsi que les Orcs. D’ailleurs, Pourkoï s’empresse d’aller contacter leur roi. Ce dernier déclare être aux côtés d’Eïmina pour ce combat et il envoie deux de ses plus vaillants soldats, Teoulos et Fournos. Les deux Orcs accompagneront Mina et ses amis.
La vache ! Je suis impressionnée par les compétences magiques d’Eïmina Pour quelqu’un qui a découvert il y a un peu plus d’un an qu’elle possédait de la magie, elle a vachement progressé
Le groupe est conduit au sein du peuple des nains grâce à deux d’entre eux rencontrés à la Bouche du Dragon.
C’est moi ou Durlat est vachement tactile avec Mina ? Ils ont quand même l’air assez proches non ?
Après de longues heures de trajet, les grottes du Crâne sont enfin en vue.
La rencontre avec les nains se déroule bien. Le groupe d’amis y est bien accueilli. Une chose est surprenante : même les nains peuvent user de magie En toute honnêteté, les nains ne sont pas du tout comme on a l’habitude de les représenter : un peu bruts, sales, etc… ici, eh bien… Ils me font penser à des hommes en moins grands ^^ Ils vivent comme les humains, arrivent à suivre le cycle solaire même dans leur grotte grâce à la magie, ils cultivent des plantes, etc.
Ah bah d’ailleurs, c’est exactement ce que pense Mina ^^
En plus d’être l’Élue et donc de gagner facilement la confiance des nains, Eïmina a un atout : Durlat en connaît quelques-uns, dont leur chef, Beleoxor, depuis des dizaines d’années. Ce dernier a confiance en l’elfe, mais teste tout de même Mina.
Beleoxor apprend à l’Élue et son Érudit ce qu’est réellement la gemme du Temps. On apprend ainsi qu’elle permet de manipuler le climat et les intempéries (je pensais que le “temps” c’était la durée moi…). Il ne faut donc pas que ce rubis tombe entre de mauvaises mains ; cela pourrait avoir des effets catastrophiques.
Dans le labyrinthe de tunnel et de pièges menant à la gemme du Temps, le chef des Nains informent Eïmina qu’elle peut le compter parmi ses alliés.
Le travail de L’Élue ne s’arrête jamais… Elle vient de récupérer la gemme et hop ! Elle va déjà repartir vers le sud uniquement accompagnée de Prilyon pour essayer de rencontrer un peuple légendaire et le rallier à leur cause. Ils seront accompagnés de deux nains, Daavor et Zaldor qui vivent sur le chemin.
Le lendemain, Mina et Prilyon arrivent à la mer de Cymbelthin. La pente pour atteindre l’étendue d’eau est escarpée. Mina glisse et perd sa besace. En dévalant le sentier, le sac s’est renversé et le coffret qui contenait la pierre s’est ouvert (la jeune femme a du se tromper dans le sort elfique censé le fermer). Sans réfléchir, et avant que Prilyon n’ait pu l’en empêcher, elle saisit le rubis à pleines mains alors que tous l’ont prévenue du danger. La pierre se met à trembler et à briller intensément. Un éclair en jaillit ; Vlarran est de retour…
Grâce à un portail, Durlat emmène son frère elfe et le coffret bien fermé cette fois. L’Élue et son Érudit reprennent leur chemin. Près de l’eau, ils rencontrent un groupe composé d’une archéologue, d’un scientifique et d’une guérisseuse qui les guident là où ils doivent plonger pour trouver le peuple qu’ils recherchent.
Elsyka, la guérisseuse, leur fournit des bijoux qui, au contact de l’eau, modifient la morphologie de leurs porteurs afin qu’ils puissent respirer sous l’eau. C’est ainsi qu’Eïmina et Prilyon s’enfoncent dans les profondeurs de la mer de Cymbelthin jusqu’à une cité engloutie.
Les deux amis sont vite repérés par des soldats et on ne peut pas dire que l’accueil soit cordial… Ils sont attaqués. Les soldats, en supériorité numérique, prennent le dessus et les assomment.
Quand ils reviennent à eux, Mina et Prilyon sont enfermés dans une cellule. L’Élue devine bien vite que le peuple marin ne leur veut pas spécialement de mal : ils ont défendu leur peuple, ne sachant pas si les visiteurs venaient en amis ou en ennemis. Même dans cette situation, on sent la bonté émaner d’Eïmina.
Trois jours plus tard, toujours aucune visite de leurs geôliers. Trois jours que l’Élue et son Érudit n’ont ni mangé ni bu.
Finalement, ils reçoivent de la visite. Prilyon ne comprend pas ce que la créature leur dit, mais Mina oui. Son collier émet des ondes particulières et c’est grâce à lui qu’elle comprend et parle la langue du peuple sous-marin. La jeune femme leur explique la raison de leur présence. Le soldat va transmettre sa requête. En attendant, ils resteront en prison où on va leur apporter de quoi grignoter.
Le peuple des Ekaülüs ne peut pas survivre sur terre. De ce fait, ils ne prendront part au combat que dans le cas où celui-ci se déroule en mer. Les deux jeunes gens sont ensuite reconduits à la surface.
Inquiets pour leurs amis qui ont disparu pendant quatre jours, Durlat, Laüstig et les Orcs les attendent près de l’entrée du souterrain aquatique que Mina et Prilyon ont emprunté.
Après avoir raconté ce qu’il s’était passé, Eïmina demande à ses compagnons de retourner auprès des archéologues pendant qu’elle fait une petite toilette. A peine a-t-elle terminé qu’elle est de nouveau assommée.
L’esprit de Mina semble prisonnier d’une sorte de boucle. N’arrivant pas à se réveiller, elle tente une projection astrale afin de découvrir où se trouve son corps. Elle a la sensation de ne pas être en sécurité.
Effectivement, elle est inconsciente, enfermée dans une cellule en bois. Elle a une grosse blessure à la tête qui l’empêche de reprendre connaissance. Elle tente alors quelque chose qu’elle n’a jamais fait : utiliser sa magie pendant qu’elle est en projection astrale pour soigner son corps. Le soin lui demande beaucoup d’énergie, mais elle y arrive tout de même et réintègre son enveloppe charnelle.
Elle quitte facilement sa cellule en déverrouillant la serrure grâce à la magie. Personne ne semble la surveiller.
Quand elle regarde autour d’elle, elle ne reconnaît pas l’endroit où elle se trouve. Elle a été déplacée après son agression.
Son assaillant est à la recherche de quelque chose, la gemme du Temps peut-être ?
Quoi qu’il en soit, quand Mina détecte sa présence, elle se rend compte que c’est un novice qui agit ainsi pour survivre. Elle le maîtrise, lui fait la morale, puis, grâce à un portail, le confie à Laïra. On ne va pas se mentir : ce passage n’est certainement pas là par hasard. On retrouvera certainement ce personnage plus tard.
Elle est vite rejoint par Prilyon et Durlat qui ont suivi les pensées du voleur pour la retrouver. Ils se trouvent dans un village pauvre, au sud de la Bouche du Dragon.
Une fois le reste de leur groupe rejoint, ils franchissent un portail pour retourner à Palasthia. Les soldats accueillent chaleureusement Durlat et Prilyon, et découvrent leurs nouveaux alliés, Laüstig et les Orcs. En revanche, ils n’ont que du mépris pour Eïmina. Ça me fait mal au coeur pour elle… C’est un lourd fardeau d’être l’Elue…
Ahhhhhhh mais ahhhhhh ! Je savais qu’Owney et Eimina finiraient ensemble :p
Maman ? Eïmina est maman ? Pourquoi Laüstig comprend et pas moi ? C’est quand même pas son fils ? Il a eu une aventure avec Mina… Elle aurait été enceinte ? Le petit garçon a 2 ans… Cela dit, ça expliquerait certaines remarques… Je pensais que c’était d’Owney qu’on parlait quand on disait que c’était la première fois qu’elle le laissait. En fait, il s’agissait de Maydwën… Eh bien, je ne l’ai pas vu venir…
Deuxième partie : Révélation
J’ai l’impression qu’on est de retour dans le passé, quelques semaines seulement après la fin du premier tome. Eïmina a des signes de grossesses : fatigue, nausée.
Quand elle apprend la nouvelle à ses amis, ils le prennent plutôt bien. En revanche, quand elle l’annonce aux deux Sages, ceux-ci lui font clairement comprendre qu’ils préféreraient qu’elle ne garde pas le bébé… Néanmoins, si ce n’est pas sa décision elle devra arrêter les entraînements. Voilà donc la raison pour laquelle elle s’est autant perfectionnée en magie. Elle a remplacé les entraînements de combats par des entraînements de sortilège :p
On comprend mieux aussi le mépris qu’ont les soldats envers elle.
Retour au présent, avec la rencontre de Laüstig et son fils. On n’assistera pas davantage à la scène. Il se passe un truc avec Aìmeygor : il est le fraternel d’une jeune femme. Le lien qu’il partageait avec Mina est en train de disparaître (Sophie, je te déteste… t’es vraiment sans pitié avec elle ???? ).
Laüstig et la jeune femme, Kalistia, se connaissent : ils sont frère et soeur.
En lisant les pensées et souvenirs de Aìmeygor, Eïmina accède également à ceux de Kalistia. Elle découvre ainsi que, malgré elle, elle a aussi un “lien” avec la nouvelle venue : c’est la meurtrière de ses parents !
Rho la vache Sophie ! Tu ne nous épargnes pas ! J’ai besoin de faire le point.
Eïmina est en couple avec Owney. Elle a eu un fils, Maydwën, avec Laüstig. La sœur de celui-ci est sur le camp, et Aìmeygor est son fraternel. On découvre aussi que Kalistia est celle qui a incendié la maison d’Eïmina quand elle était enfant, sous la menace de Xortius qui allait s’en prendre à sa famille si elle refusait.
Le père de Mina et la mère de Laüstig et Kalistia sont vivants dans le Berh, un lieu de chaos et de désolation où Xortius envoie quelques-unes de ses victimes pour leur montrer sa puissance.
Kalistia et Laüstig lèvent le sort qui protégeait leurs souvenirs. Eïmina redécouvre alors, au travers de leurs mémoires, ce qu’il s’est passé avec Xortius, comment ils ont eu pour mission de tuer ses parents et comment ça s’est passé. Ils lui apprennent que, suite à cet événement, ils ont décidé de jouer double jeu : protéger les gens des agissements du Mage noir tout en lui faisant croire qu’ils étaient de son côté.
On a pas mal de flashbacks dans cette partie. En général, ça me dérange, mais ici, ça me plaît. Il y a eu de nombreux mois qui sont passés entre le tome 1 et le tome 2, (d’ailleurs, il me semble que neuf mois avait clairement été évoqué ???? ça aurait dû me mettre la puce à l’oreille pour la grossesse de Mina). Du coup, ça me plaît d’avoir quelques scènes qui sont expliquées
Cette fois, on découvre l’importance qu’a eu Aìmeygor dans la formation des dragons éveillés par Eïmina mais aussi l’apprentissage des futurs dragonniers sur le campement. L’Élue a choisi avec soin les dragons pour faire en sorte qu’il y ait de la diversité. C’est pourquoi aucun des dragons ne se ressemblent vraiment (j’avoue que je serai curieuse d’avoir un visuel de ceux-ci :p ).
Melissa et Saïvior sont les 2 elfes responsables de l’entraînement des dragons et des volontaires.
Par miracle, sur la dizaine d’hommes et de femmes volontaires, 7 d’entre eux découvrent leur fraternité parmi les dragons. Thalzyn est l’une deux. Elle vient de se lier avec le bébé dragon blanc qui se prénomme Dolszor.
Eh bien ! Comme Sophie nous l’avait dit dans un live Twitch, aucune communauté n’est mise de côté. Laüstig est en fait homosexuel. Il se cherchait quand il a rencontré Mina (en réalité, il s’en doutait) mais n’a fait son coming-out que plus tard. D’ailleurs, il a déjà trouvé un amant sur le camp, un soldat du nom de Daxan. Ce dernier lui apprend qu’il n’a pas à s’en faire pour eux. Ici, deux hommes qui s’aiment sont bien plus appréciés qu’une femme célibataire et enceinte… Laüstig découvre alors ce que pensent les combattants de la mère de son fils. Il se fait alors la promesse de veiller sur Eïmina.
L’Élue rassemble les Érudits. Elle rappelle Laïra et Zaltet. Au même instant, ils sont demandés sur la place centrale du camp où est arrivé Shaïnok accompagné de son fraternel et de trois Arkanoks : Burtok, Einok et d’un troisième qui lui est inconnu. Le nouvel Érudit lui demande de s’isoler pour discuter.
L’arkanok inconnue est en réalité une femme prénommée Anaïak. Son peuple la surnomme la Hurleuse. Cette dernière veille sur les créatures des plaines et a la capacité de communiquer avec chacune d’elles. Elle a une information importante à transmettre à l’Élue : une trentaine de soldats de Xortius escortent une calèche en direction des pics d’Erbenzör (là où était retenu Laüstig). D’après ce dernier, ces soldats font partie de l’Elite du Mage noir. Il s’agit des enfants qu’il a kidnappés et qui sont allés au bout de leur entraînement (que j’appellerai plutôt “formatage” au passage…).
Quelque chose interpelle l’Érudit de la Sagesse. Durlat se demande pourquoi Xortius aurait pris d’assaut Alteïsthia si c’est pour l’abandonner aussi vite.
Eïmina décide d’y envoyer Laüstig et Tael, un soldat pratiquant la magie. Je n’apprécie pas le guerrier, mais j’ai un mauvais pressentiment :/ J’ai la sensation que c’est un piège.
De leur côté, Grofus et Somfus viennent récupérer la gemme du Temps. Ah bah comme je le pensais, elle contrôle aussi bien le temps qui passe que la météo. Les deux Sages sont en train de finaliser l’installation pour la faire fonctionner. Ils décident également que tous les Érudits et l’Élue resteront ensemble sur le camp pendant au minimum une semaine.
Eh bien ! Cette semaine au camp tous ensemble a des avantages. Les Érudits en profitent pour faire le point sur leur sentiment : Prilyon pensait être amoureux de Laïra mais il ne ressent pour elle que de l’amitié. De son côté, la Mage est tombée sous le charme de Zaltet qui est fou amoureux d’elle. Concernant Shaïnok, il en pince pour Anaïak depuis qu’ils sont enfants mais doit se faire pardonner quelque chose.
Finalement, Laüstig et Tael reviennent sains et saufs. Xortius a bien quitté Alteïsthia, mais il n’a laissé derrière lui que de la désolation ; leur rapport est déprimant. Les bâtiments ont été incendiés, certains ne sont plus que des cendres et des tas de cadavres jonchent les ruines de la ville. Des gens brûlaient vifs dans leur maison. Impossible pour les deux soldats de rester sans rien faire, même s’ils devaient rester discrets. Ils ont envoyé des sbires de Xortius dans la prison elfique et ont ouvert un portail pour ramener les blessés au camp.
Pour remonter le moral des troupes, les Érudits organisent un spectacle (ça me rappelle la fête du prologue du premier tome). Le temps d’une soirée, chacun s’amuse et oublie l’horreur de la guerre.
Dès le lendemain, Eïmina se prépare à partir, seule. Elle veut aller à la rencontre de personnes pratiquant la magie pour leur demander de l’aide afin de vaincre les soldats de Xortius encore à Alteïsthia. C’est donc tout naturellement qu’elle va aller à Flovana, en Maïstilys.
Une fois dans l’école de magie, Eïmina croise un ancien professeur, Meïtamistos. L’illusionniste l’accompagne voir Agentior, le directeur de l’école.
Rho dis donc, elle n’a pas le temps d’en placer une. Agentior a tout un tas de missions pour elle. Pour commencer, elle doit se rendre à Amoïla. Là-bas, elle rencontrera deux espions qui l’accompagneront dans les Quadralaïyne, les collines légendaires.
Eïmina respecte donc les consignes d’Agentior.
Arrivée à Amoïla, elle est subjuguée par l’architecture du lieu. Ne sachant où trouver les espions, elle se rend à la Tarverne Raïsek (oh oh ! Si tu as participé à la campagne Ulule, ça te dit quelque chose hein :p ). Nannnn il n’a pas osé quand même ? Agentior n’a pas choisi les deux ennemis de l’Élue et de ses Érudits quand ils étaient à l’école comme espions quand même ? En tout cas, ce sont les deux seules personnes qui dénotent dans la taverne : Spactoïs et Nestios.
D’après la légende, personne ne peut se rendre au centre des Quadralaïyne. Personne sauf l’Élu. Durant son voyage, cet Élu devrait mener un combat contre lui-même. On parle également de l’Épée de Justice. Est ce que c’est une arme que l’Élu va obtenir ? Est-ce que cette épée va le juger ?
Spactoïs et Nestios accompagnent Mina aussi loin que possible, jusqu’à ce qu’une sorte de mur invisible ne les empêche d’aller plus loin. La jeune femme continue alors son chemin seule. Elle se retrouve bien vite avec une épée à la main, face à un individu encapuchonné. Elle se souvient alors de la légende et, après avoir échangé quelques coups, elle décide de poser son arme. Cette dernière, ainsi que celle de son adversaire s’évapore. La capuche de son ennemi tombe, dévoilant le visage de Mina. Son double lui montre alors le chemin à emprunter que l’Élue suit sans hésiter.
Dans cette nouvelle pièce se trouve l’Épée de Justice. Eïmina la saisit et l’attache à sa ceinture. Elle rencontre ensuite la Gardienne de l’arme légendaire. Cette dernière apprend à Mina que le septième et dernier Érudit se trouve en Alécanthia, au même endroit que la seconde partie du parchemin que lui avait montré Blau dans le premier tome (celui qui parle de la prophétie).
La Gardienne l’informe également que, même en tant qu’Elue, elle peut avoir un fraternel. D’ailleurs, ce dernier est exactement là où elle se trouve. A cet instant apparaît une créature ailée gigantesque qui ressemble à un gros félin mais avec une tête de dragon. Oh L’animal a, incrustés sur son front, trois diamants en forme de goutte (ça me fait penser aux manchettes de l’armure d’Eïmina que Sophie nous montre parfois :p ). La forme astrale ouvre la gueule et un bébé en sort. Cette fois, Mina ressent un lien fort avec la créature. D’ailleurs, son collier s’active et un faisceau lumineux frappe le petit sur le front : les diamants sont remplacés par trois cristaux de la même couleur que ceux des cristaux de la Destinée. Désormais, Eïmina et Mohrlïn ne font plus qu’un.
Une fois de retour auprès des espions, elle leur fait ses adieux et retourne à Flovana faire son rapport à Agentior. Malheureusement, le directeur n’est pas dans son bureau. A la place, elle y découvre huit femmes et un homme peu accueillants. J’avoue que j’ai eu un peu peur qu’ils s’en soient pris au directeur.
En réalité, Agentior arrive dans le bureau accompagné d’un homme et d’une femme et fait les présentations. Il a fait appel à la guilde de Nayrök, des sortes de mercenaires, pour aider Mina dans sa quête. Onze personnes avec chacune leur spécialité. Des mages guerrier, archer, bohémien, soutien, illusionniste, espion ; une nécromancienne ; une dryade ; un alchimiste. Une sacrée équipe en somme, mais surtout des amis de confiance du directeur.
A peine de retour au camp que la guilde emprunte un portail pour se rendre à Alteïsthia.
Avant de partir, Agentior a montré un grimoire à Eïmina. Elle a ainsi pu découvrir un sortilège qui, à l’aide de cristaux de roche envoûtés et placés à des endroits stratégiques, crée un dôme. Un peu comme si on voyait une sorte de pentacle avec des cristaux et que le centre était protégé. Sans plus attendre et surtout sans se reposer, Mina ouvre un portail et file chez les Nains (j’adorerai pouvoir voyager comme ça…). Grâce à Daavor et Zaldor, elle a vite les pierres et retourne sans plus attendre sur le camp pour les envoûter. Dès le lendemain, les cristaux sont placés et le dôme est installé.
Les jours passent. Aucun événement particulier ne se produit. Les entraînements continuent pour les Érudits.
Mais un jour, le dôme se fissure et se désintègre. Une corne de brume signale l’approche d’ennemis : des soldats de Xortius et son Élite.
Rho ne me dit pas que Sophie va encore faire mourir quelqu’un à la fin du livre hein…
Le combat est tendu. Zaltet est blessé par une flèche empoisonnée. Ah…. Si… Ça a été tellement rapide j’ai du mal a croire que ça soit vrai
Ervina, la membre de l’Élite, blesse Prilyon au visage avec le même poison.
Bon ! Stop ! Avant que je n’aille plus loin, il faut que je dise un truc. Dis-moi que ça ne va pas se finir comme ça. Le livre s’appelle la gemme du Temps. Jusqu’à présent, on n’a pas vu son pouvoir (sauf avec les prophéties de Vlarran). J’imagine qu’on va faire un retour en arrière non ?
Prilyon n’est pas mort, mais il s’est arraché l’œil pour éviter que le poison ne se répande. D’ailleurs Eïmina le soigne du mieux qu’elle le peut.
Anaïak est morte elle aussi.
Eh bah… On s’est pris une claque là
Eïmina est sûre qu’il y a un traître parmi eux. Comment Xortius aurait-il pu désactiver le dôme sinon ? Elle envoie alors son meilleur espion enquêter.
Ahhhhhhhhhh !! L’espion est Zaltet ! Sa mort n’était qu’une illusion. Il a découvert le traître. Il s’agit d’un homme blond prénommé Valik. C’est celui que les parents adoptifs de l’Élue voulaient lui faire épouser.
Oh bon sang… Mais pourquoi ? Pourquoi Xortius a incendié le saule pleureur de Sviden ? L’arbre est mort… Ses cendres s’envolent dans le ciel. C’est comme si Sviden était mort une seconde fois en fait
Mais Mina n’a pas le temps de faire de nouveau son deuil. La tour de la Perdition, l’une des deux portes pour se rendre en Maïstilys. a été détruite. Heureusement qu’Owney est avec elle et qu’il l’empêche d’y foncer tête baissée. A la place, il la ramène au camp. Il faut qu’ils établissent un plan.
Les cristaux seront surveillés en permanence par 3 personnes, une de chaque peuple, afin qu’ils apprennent à travailler ensemble.
Ils vont ensuite demander à des personnes de confiance de vérifier la fiabilité des gens vivant sous le dôme grâce au sortilège de vérité.
Une fois qu’Eïmina sera certaine que seules des personnes dignes de confiance vivent sous le dôme, les Érudits et elle déménageront, tous ensemble, dans la contrée des Six. Les créatures bricoleuses, aidées par des nains et avec le soutien matériel de l’Élue, ont reconstruit la cité.
Eïmina va récupérer de nouveaux cristaux chez les Nains afin de créer un dôme autour de la contrée des Six et de la tour de la Perdition. D’ailleurs, elle y enverra ensuite les milvions pour qu’ils reproduisent un exploit.
La guilde de Nayrök est de retour et fait son récit à Eïmina. Je sais que Sophie a prévu plusieurs trilogies basées sur l’univers d’Alécanthia. Est-ce que l’une d’elle pourrait concerner la guilde ?
Des semaines sont passées depuis l’attaque de Xortius.
Eïmina, ses Érudits et quelques volontaires se sont installés dans la contrée des Six. Weiss, ses parents adoptifs, Blau et Tilo, en font partie. Enfin ! Je suis contente que Mina ait un peu de “chance” :p Retrouver son frère lui fait d’autant plus de bien qu’elle a laissé Maydwën à la famille royale elfique et qu’Owney (qui a été nommé Premier Érudit) est resté à Palasthia.
Ohhh je ne m’attendais pas à cette fin de livre Le mariage de Zaltet et Laïra. Par contre j’avoue que j’ai peur de ce qui va se passer dans le tome 3. Je crains que les plans d’Eïmina et Owney, une fois la menace Xortius derrière eux, ne se fassent jamais (ça ne m’étonnerait même pas que l’un des deux meure… Tu ferais pas ça Sophie hein ?).
Ah… Je me disais bien qu’on ne pouvait pas finir sur une note positive…
À peine la cérémonie terminée, une corne de brume retentit. Des ennemis approchent : une trentaine de soldats et une dizaine de cavaliers de l’Élite. Ils se mettent en place mais n’attaquent pas. Ils semblent attendre quelque chose. Xortius est parmi eux, et il a un “présent” pour l’Élue : son père…
En conclusion
Pour commencer, je pense qu’il est important de préciser qu’il n’y a pas de résumé ou de rappel de ce qu’il s’est passé dans le tome précédent. Même si on te redonne parfois quelques informations, tu n’as pas de présentation des personnages ou encore des lieux. Du coup, si tu as lu le premier tome il y a un moment, cela peut déranger ta lecture dans le sens où tu ne te souviendras pas forcément de “qui est qui” ou encore de l’importance d’un lieu.
Ce tome se passe plusieurs mois après la fin du livre précédent. Mina, ses Érudits, les Elfes et les Hommes travaillent de concert pour protéger de grandes villes d’Alécanthia. En effet, l’armée de Xortius est de plus en plus présente et, même si le Mage noir semble “passif”, on a l’impression qu’il place ses pions pour mieux attaquer.
En plus de s’occuper de la mise en place et de la gestion des camps de protection, Eïmina et ses Érudits ont d’autres missions. Ils doivent retrouver la gemme du Temps et la remettre aux deux Sages et ils doivent rallier d’autres peuples à leur cause.
Grâce à cette seconde mission, on apprend à un peu mieux connaître l’Élue et ce que représente son statut. Dans le premier tome, il y avait des choses qui m’avaient dérangée concernant Mina : elle venait de découvrir la magie, faisait des choses de ouf et ça ne l’étonnait pas (même les personnes qui l’entouraient n’étaient pas étonnées). Cette fois, on comprend mieux ce que signifie “être l’Élue”, l’importance de ce rôle. On découvre ainsi que ses capacités sont innées et que, même son comportement depuis sa naissance est le reflet de qui est elle. D’ailleurs, si on parle de ses compétences, cette fois, je ne suis absolument pas choquée par ce qu’elle est capable de faire parce qu’elle s’entraîne depuis des mois ! (et je dois dire qu’elle est impressionnante).
Comme bien souvent dans une trilogie, le second tome est un tome que je qualifie de transition. Il ne se passe pas grand chose (ici, il se passe des choses, mais tu sais que le plus gros est à venir, comme par exemple, le combat final entre Eïmina et Xortius). On sent que des éléments sont en train d’être mis en place, qu’on nous dévoile quelques petits trucs par-ci par-là. Je pense que le troisième et dernier tome de la saga risque de contenir beaucoup d’action et de révélations
Sophie a réussi à me surprendre dans son livre. Même s’il y a des choses dont tu te doutes dès le prologue (sans pour autant savoir comment ça va se mettre en place ou se dérouler), d’autres m’ont complètement surprise et, pour être honnête, ça ne m’avait même pas effleuré l’esprit.
En fait, son côté “romancière” est un peu sadique, il faut l’avouer… Elle joue avec tes émotions : avec Sophie, que tu sois dans le camp des gentils ou des méchants, cela n’a pas d’importance. Tout peut basculer en un claquement de doigts. Il faut savoir faire des sacrifices pour défendre ses convictions (oui oui… ).
Tout comme le tome précédent, j’ai été complètement embarquée dans l’histoire. Souvent, quand je lis une saga et qu’il y a un saut dans le temps entre deux tomes, ça me paume et ça ne me plait pas. Ici, je m’y attendais, ça me paraissait logique. J’ai néanmoins été surprise de voir que, dans le début de la deuxième partie du livre, on avait des flashbacks de ce qu’il s’était passé au cours de ces derniers mois. C’est malin. Ça te permet de combler les “trous” et de ne pas avoir l’impression d’avoir été mis de côté dans le déroulement de l’histoire.
Même si j’ai aimé cette lecture, j’ai tout de même deux bémols.
Le premier (et pour être honnête, sur les 300 et quelques pages, j’ai le souvenir de n’y avoir été confrontée que deux fois, mais comme c’est quelque chose que je n’aime pas, ça m’a marquée) c’est qu’il y a parfois des passages un peu long. On se retrouve avec des paragraphes qui te présentent des personnages ou créatures et qui ne sont que des successions de descriptions et noms. En général, c’est à ce moment que je décroche ; je survole la partie et je ne retiens rien…
Le second bémol (pour le coup, c’est pas vraiment un bémol, mais plus une remarque ???? ) concerne les personnages. On avait déjà rencontré pas mal de monde dans le premier tome. Dans ce livre, on n’a pas de rappel de qui ils sont et pourtant, on les retrouve et il faut re-situer les choses (je pense notamment à la princesse Adarra, ou encore au deux fripouilles de Flovana). Mais en plus d’avoir les personnages du premier tome, beaucoup de nouveaux sont introduits et c’est parfois compliqué de s’y retrouver.
Pour conclure, j’ai passé un bon moment de lecture et l’attente va être longue jusqu’à la sortie du troisième et dernier tome de la trilogie. J’avoue que j’ai quelques attentes vis-à-vis de celui-ci, pas dans les actions mais dans les choses qui ont été mises en place. Par exemple, pour moi, quand tu accordes de l’importance à un personnage et que tu changes sa vie, ça n’est pas pour rien. Je m’attends donc à le retrouver dans la suite
J’avoue que je suis également curieuse de connaître la décision/réaction d’Eïmina face à la scène finale. Cette fois, je n’imagine pas de saut dans le temps entre la fin de ce tome et le suivant. On verra bien ce que Sophie nous réserve.
#fantasy #magie #pouvoir #saga #Alécanthia
- le Ven 03 Sep 2021, 10:23
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- Sujet: Les cristaux de la destinée – Alécanthia (T.1)
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Les cristaux de la destinée – Alécanthia (T.1)
Les cristaux de la destinée – Alécanthia (T.1)
de Sophie Owl
Résumé :
« Xortius ne fut repoussé qu’après beaucoup de morts et de disparitions inexpliquées. Qui aurait cru que, des décennies plus tard, le monde réussirait peu à peu à se reconstruire. Mais sans l’harmonie des temps passés.
Plus rien ne serait jamais comme avant.
Sauf si… »
Eïmina n’a que 18 ans lorsqu’elle apprend qu’elle est promise à un destin bien plus grand qu’elle ne l’avait imaginé. Devenue l’Élue, c’est sur ses épaules que repose à présent la vie de son peuple.
Face aux dangers et à l’armée de Xortius, un magicien banni, elle devra parcourir les terres de ses ancêtres et obtenir l’aide des elfes, des nains et des autres communautés magiques.
Parviendra-t-elle à sauver son peuple de la menace qui pèse sur lui ?
Mon avis :
Le gros avantage des formats papier, c'est que tu peux facilement revenir en arrière. Pourquoi je fais cette remarque ? Parce qu'au début du livre, tu as 2 cartes qui te permettent de situer où tu te trouvés dans l'histoire. Il s'agit des cartes d'Alécanthia et de Maïstilys.
Au fil de ma lecture
- Ne pas ouvrir si tu as l'intention de lire le livre:
- L'histoire commence sur un prologue et plus précisément lors d'une fête à Palasthia. Sur le continent d'Alécanthia, tout le monde vit en harmonie, magiques comme non fantastiques. Personne ne semblait au-dessus des autres si ce n’est Dame Nature.
Dès le début, les gens auraient dû se douter qu'il allait se passer un truc grave : c'était un soir de lune rouge…
Tous les Érudits et leurs Apprentis sortent sur le balcon d'une des tours du palais. Tous semblent ravis d'être là, sauf Xortius, le disciple de Grofus. Comme chaque année pour la fête, les Érudits préparent un spectacle avec leurs Apprentis pour montrer leur talent. On sent tout de suite que Xortius ne veut qu'une chose : le pouvoir. En plus d'avoir un regard méprisant sur les autres, il veut montrer à tous sa supériorité magique, peu importe les conséquences, mettant en danger la vie de tous.
Hannn les montures des Chevaliers *_* Dragons, licornes, phénix, pégases, une chimère ! Les Érudits ainsi que les Chevaliers ont pour missions de protéger le peuple d'Alécanthia.
Mine de rien, le début me fait revenir des souvenirs des Chevaliers d'Emeraude, saga d’Anne Robillard que j'avais beaucoup aimée.
Le comportement de Xortius n'est plus tolérable. On décide donc de l'exclure de sa formation d'Érudit. L'ex apprenti se sent rejeté par cette décision et essaie d'acheter des maîtres et leur disciples. Tous ceux ne le suivant pas sont soit exécutés, soit transformés en bestioles. Son pouvoir grandissait (il faut dire que l'énergie vitale des créatures enchantées qu'il sacrifiait l'aidait). Il apprend à contrôler l'esprit et l'âme humaine. C'est ainsi qu'il lève une armée : l'Armée Noire. Tout le monde a peur de lui, et personne ne semble de taille à le combattre (son armée fait le taff et lui ne s'occupe que des plus redoutables adversaires).
Le chaos, la peur et le malheur frappent de plein fouet les créatures magiques.
Bien des décennies plus tard, Xortius est repoussé. Alecanthia se reconstruit peu à peu, mais l'harmonie de jadis n'existe plus.Partie 1 : Illusion
Nous allons suivre les aventures d'Eïmina, une jeune femme de 18 ans, blonde au yeux violets (je doute qu'elle soit humaine). Elle vit avec ses "parents adoptifs", Ran et Tisna. Deux ans plus tôt, alors qu'elle était sortie, sa maison avait été ravagée par la flamme et ses parents y avaient péri. Avant de mourir, sa mère lui avait dit qu'elle était promise à un fabuleux destin et qu'elle ne devait laisser personne prendre de décision a sa place. Depuis ce jour, Mina se demande si l'incendie était accidentel ou non et ce qui l'avait causé.
Eïmina est quelqu'un d'altruiste qui vient sans hésiter en aide à ceux qui en ont le besoin. C'est exactement ce qu'il se passe avec Tilo, un petit lutin qui se fait malmener par 3 voyous.
Après l'avoir sauvé des garçons, elle le raccompagne chez lui, chez l'épicier Blau, qui habite dans le bourg de Cazbellec où tout le monde connaît tout le monde.
Le lutin et l'épicier sont inséparables depuis que, des années auparavant, ce dernier est venu en aide à Tilo en le sauvant des griffes de garçons (tout comme l'a fait Mina un peu plus tôt). C'était pendant la guerre d'Alécanthia.
Blau raconte à Eïmina l'histoire de la guerre de leur monde. On apprend ce que sont les fraternels (2 personnes vivantes unies par un lien indéfectible ; ce que l'un ressent, l'autre le perçoit aussi), mais aussi qu'à cause de Xortius, beaucoup d'espèces magiques ont disparu. On découvre également que les parents de Mina étaient des espions pour les Érudits (avant leur dissolution) et qu'ils avaient pour mission d'enquêter sur Xortius. C'est d'ailleurs ce dernier qui a commandité leur mort (le feu n'était donc pas accidentel…). Il lui dit ensuite que Xortius n'est pas mort et que si l'on n’entend pas parler de lui en ce moment, c'est probablement parce qu'il prépare quelque chose. Enfin, Blau et Tilo lui parlent d'une vieille légende (enfin… la moitié de celle-ci…). Un être d'une pureté rare sera capable de rétablir l'équilibre à Alécanthia. Ils pensent tous les 2 que cette Élue est Eïmina.
Même si elle a du mal à y croire, la jeune femme feuillette un livre sur les êtres mythologiques, elle cherche quelles races pourraient lui venir en aide si elle en avait besoin. Son choix se porte sur les elfes, les nains et les licornes. Voulant s'essayer à la magie "pour voir", Mina réussit à lancer un sort (et plus que bien) sous l'œil stupéfié de Blau et Tilo. Il semblerait que dans l'Alécanthia actuelle, peu de personne soit capable d'utiliser la magie.
De retour chez elle, une annonce de ses parents adoptifs (qui veulent la marier) lui donne le courage nécessaire pour partir à l'aventure.
Elle commence son voyage par le Chemin de l'Ubiquité, le petit sentier qui quitte le village de Cazbellec et qu'il faut prendre pour traverser une forêt afin de se rendre à Clypsodia, la première destination de Mina.
Le chemin n'est pas de tout repos et joue avec elle… un peu comme le labyrinthe d'Alice au Pays des Merveilles. Finalement, suivant les conseils de Blau, elle observe chaque sentier avec attention et laisse la nature la guider. A un carrefour, elle croise un homme, Owney, qui est un vieil ami de l'épicier à qui elle devait remettre une lettre. Guidés par des feux follets, ils sortent tous les deux de la forêt et arrivent à Clypsodia où ils franchissent les remparts de la citadelle.
Hum… Je sens qu'il va y avoir un rapprochement entre les 2 jeunes gens. Ils n'ont que quelques années d'écarts et semblent bien s'entendre :p
Oh ! Bizarre ! Eïmina a rêvé d'un dragon, et dans le chemin de l'Ubiquité, elle a été attirée par une "pierre" qui dégageait de la magie et qu'elle a emmenée. Il s'agit en fait d'un oeuf de dragon C'est comme si le dragon l'avait appelée non ? Ce serait son fraternel ? ^^ Ah bah c'est ce que lui dit Owney ^^ Au lieu de faire des pause pour noter ce que je pense n'importe quand, je devrais attendre d'avoir fini un chapitre =)
Oh :/ Elle quitte Owney. Peut-être qu'on le reverra plus tard.
Avant son départ, son hôte lui remet une carte d'Alécanthia et une fiole contenant le cri de la nature. En cas de danger, elle pourra l'utiliser pour avoir de l'aide. Mais attention, la fiole est à usage unique. Owney lui conseille également de bien cacher son dragon, que l'œuf ait éclos ou non. Si Xortius apprend son existence, il voudra s'en emparer pour lui voler sa force vitale.
A présent, en route pour la Forêt de l'Oubli, au nord de Clypsodia. Sur le chemin, elle rencontre Sviden qui chante une chanson qui dit qu'il est mi-homme, mi-elfe et qu'il attend l'élu pour le protéger. Wah ! Le destin !
Bon eh bien Sviden et son fraternel, Otac, un ours brun, rejoignent l'aventure de Mina :p
L'elfe lui apprend que dans la Forêt de l'Oubli se trouvent 3 nymphes. Celles-ci testent le cœur des voyageurs et, s'il est pur, leur viennent en aide. Il ne doute pas que celui d'Eïmina le soit. Les nymphes l'aideront dans sa quête (même si sa quête est la vengeance de la mort de ses parents ? Cela dit, c'est pour éliminer Xortius qui est un danger pour tout le monde…).
Hum… l'Armée Noire est de retour. Est-ce que Xortius aurait senti la magie de Mina et aurait envoyé ses sbires à sa poursuite ? En tout cas, la jeune femme a terrassé le groupe en transformant 4 des 5 soldats en lézard. Otac s'est occupé du dernier en l’assommant :p
Sviden le ligote et décide de l'emmener avec eux dans la Forêt de l'Oubli. Mais pour le moment, il faut attendre qu'il reprenne connaissance et que la jeune femme retrouve des forces (le sort l’a épuisée).
Oh bah mince alors ! Le test des nymphes commence ! Alors qu'ils progressent dans la forêt, Sviden et Eïmina entendent des cris. Une petite ourse est la proie d'une gigantesque harpie. Après avoir étudié la situation, Mina bondit sur l'animal pour la sauver des griffes de la créature. Cette dernière fonce sur la jeune fille qui esquive au dernier moment. Alors la harpie disparaît, laissant la place à un petit cristal rouge, symbole du courage, qui vole jusque dans la paume de l'Élue.
Un peu plus loin dans leur progression, ils tombe sur un paon blanc, affaibli, allongé sur le sol. Il est affamé. Eïmina lui offre quelques baies rouges d'un buisson non loin. L'animal retrouve vitalité, et un cristal jaune, symbole de la générosité, apparaît.
Hum… C'est étrange. Ces pierres ont un effet sur le soldat de l'Armée Noire. Pour faire en sorte que ses hommes soient obéissants, Xortius les prive de leur âme, faisant d'eux des marionnettes docile et ne ressentant pas la douleur. Lorsque qu'Eïmina approche les cristaux du soldat, ses yeux deviennent moins vides et ils semblent retrouver son libre arbitre. Est-ce que le 3e cristal (si on se fit a la couverture il s'agira du bleu) libérera totalement le soldat du sortilège maléfique qui le ronge ? Deviendra-t-il un nouvel allié pour l'Élue ?
L'attention de Mina et Sviden est ensuite attirée par la petite ourse et le paon blanc qui courent dans une même direction. La jeune femme les suit et, comme les animaux, regarde au-dessus d'elle. Une énorme cage de métal est suspendue dans les airs. Elle contient une petite renarde qui a besoin d'aide. Grâce à une énigme, Eïmina arrive à libérer l'animal. La cage d'acier se transforme en cristal bleu, symbole de la ruse, de la raison et de la sagesse.
Rho… Même si je suis prise dans l'histoire, j'avoue que je trouve que tout est trop facile, trop rapide :/ Eïmina est l'Élue et tout semble innée chez elle… Elle a appris qui elle était la veille et c'est normal. J'espère que des difficultés vont finir par arriver :p
En mettant la pierre dans son sac, celle-ci active son pouvoir et déclenche le processus d'éclosion de l'œuf de dragon. Ce dernier est exactement comme celui du rêve de Mina (si ce n'est qu'il s'agit de la version "bébé" ^^).
Un lien fort existe déjà entre eux. Le dragon se pose sur l'épaule d'Eïmina et, guidé par la renarde, le petit groupe reprend son chemin, bien vite stoppé par 3 femmes.
Les nymphes informent Mina qu'elle a réussi le test et qu'elle peut continuer son chemin. Cependant, quoi qu'il arrive, elle devra continuer sa route.
Les nymphes s'occuperont du soldat pour le libérer de la magie de Xortus pendant que Sviden, Eïmina et leurs fraternels continuent leur progression.
Bien vite, un brouillard dense les entoure et le groupe est séparé. Même si Eïmina devrait suivre l’ordre des nymphes de continuer quoi qu’il se passe, elle décide de rebrousser chemin pour retrouver son ami et l’ours brun.
Ainsi, ils croisent un elfe du nom de Zaltet. C’est lui qui est à l’origine du brouillard et, en réalité, il s’agissait du test final de la Forêt de l’Oubli. Mina l’a réussi (il faut parfois savoir ne pas obéir aux ordres :p).
Zaltet ouvre un portail magique et invite Eïmina et Sviden à le suivre dans le bois elfique. Eh bien… Ce peuple que tout le monde pensait disparu existe encore bel et bien :p
L'elfe les emmène au palais de Daïsta pour y rencontrer Leurs Majestés, le roi Ellkion et la reine Damastia. Ils sont accompagnés de la princesse, Adarra.
Quand Eïmina leur montre les pierres, le roi lui apprend qu'il s'agit des Cristaux des Érudits que tous pensaient perdus. Ces derniers, une fois assemblés, permettent de révéler aux yeux du souverains l'identité des 7 Érudits. Rhoooo Eïmina va devoir partir à leur recherche ?
Alors qu'elle s'apprête à les remettre dans son sac, ils émettent une couleur rouge en direction de Zaltet. Eïmina a trouvé son premier Érudit : l'Érudit du courage.
Le lendemain matin, en cherchant la salle du trône, Eïmina se retrouve devant un miroir magique. Rejointe par Sviden, elle apprend que l'objet reflète la vraie nature des gens. Quand elle le regarde, le demi-elfe est un bouclier (il s'agit d'une symbolique : c'est son protecteur), quant à elle, elle ressemble à une reine. Même si elle n'y croit pas, c'est logique. Les cristaux révèlent les Érudits au roi. Elle a trouvé le premier Érudit. Je pense qu'elle sera la future souveraine d'Alécanthia.
Eïmina et son protecteur se dirigent ensuite vers l'arène, le lieu d'entraînement des soldats. Là-bas, et même si tous les elfes se moquent d'elle, la jeune femme demande à Bixion, le général, de lui apprendre à se défendre. Pour la tester, il demande à Zaltet d'affronter la mortelle. Si elle tient plus d'une minute, le général réfléchira à sa requête.
Dès le premier coup de l'elfe, Mina tombe à genou, une forte douleur dans les côtés. Mais elle n'abandonne pas. Elle refuse de donner ce plaisir aux elfes. Elle se relève et reprend le combat.
Après une demie heure d'un combat intense, l'Alécanthienne finit par comprendre le point faible de son adversaire. Elle arrive à le mettre au sol et gagne le combat. Eh bien, voilà de quoi faire taire les elfes prétentieux :p
Zaltet a un jumeau qui est capable de lire dans les pensées. Je me demande s'il va rejoindre l'aventure. Je trouve que ça apporterait du piment au groupe, étant donné que les 2 frères passent leur temps à se chamailler (et qu'ils semblent apprécier taquiner Mina).
Tout le petit groupe se rend à la forge afin de rencontrer Dallozior. Pour féliciter Zaltet pour sa promotion au poste de premier Érudit, le forgeron lui offre une magnifique épée.
Dallozior demande ensuite à Eïmina les Cristaux des Érudits. En quinze minutes, les 3 cristaux n'en font plus qu'une (tout en concervant les 3 couleurs principales). Le forgeron a mis la nouvelle pierre sur un collier qu'il passe autour du cou de l'Élue. Aussitôt, le cristal s'allume et s'élève dans les airs, désignant Durlat comme second Érudit, celui de la sagesse (ahhh je savais qu'il serait de la partie).
Ah mais en fait, seuls Sviden et son fraternel vont suivre Eïmina. Les Érudits vont rester dans les bois elfiques pour s'entraîner au mieux dans tous les domaines. D'ailleurs, l'Élue devra y envoyer les autres Érudits qu'elle rencontrera sur son chemin. Mince alors, je pensais qu'ils voyageraient tous ensemble.
La reine informe Eïmina qu'elle doit se rendre à la Tour de la Perdition où se trouve un passage magique pour l'école de magie. Elle y est attendu et y apprendra tout ce qu'elle doit savoir sur la magie, le monde et sa destinée
Mais le voyage jusqu'à la tour va être éprouvant, d'autant plus que l'Alécanthienne, Sviden et leurs fraternels vont devoir marcher pendant 6 jours dans le désert d'Ambrovor.Partie 2 : Initiation
Je comprends mieux pourquoi un journaliste a comparé ce livre à Harry Potter. L'école de magie se trouve à Maïstilys. Il y a 2 écoles dans ce monde magique : Ploumeîra, au nord et Flovana, au sud. C'est dans cette dernière que les 2 voyageurs se rendent. Cette école est dirigée par un vieux sorcier du nom d'Agentior.
Voilà déjà plusieurs jours que Sviden et Eïmina progressent dans le désert. Alors que tout se passait bien jusqu'à présent, les voilà attaquer par un immense reptile : une salamandre des sables.
Bon… Une fois encore c'est facile :/ L'Élue fait diversion. Son protecteur en profite pour sortir une corde et la passe autour du cou de l'animal. Les voilà à présent à dos de salamandre pour continuer leur voyage.
Grâce à l'animal, ils arrivent à la Tour de la Perdition bien plus vite que prévu (surtout que Mina a perdu connaissance pendant 6h : elle est entrée dans une sorte de transe pour communiquer avec son dragonnet afin de découvrir son nom : Aìmeygor). Après un tour de passe-passe de l'elfe pour créer une porte, ils entreprennent l'ascension de la tour.
La Tour de la Perdition est le seul passage qui relie Alécanthia et Maïstilys. Si elle venait à être détruite il n'y aurait plus de connexion. Xortius connaît ce passage. Le peuple de Sviden a pour mission de protéger la tour
En haut de l'escalier, c'est cette fois Eïmina qui fait un tour de passe-passe (malgré elle :p). Les voici à Maïstilys où ils se rendent tout de suite à l'école de magie. Agentior les accueille et s'occupe de l'inscription de Mina et de son fraternel. Chacun d'eux suivra des cours. Pendant une semaine, l'Élue suivra des cours d'initiation à la magie avec des enfants âgés de 4 à 8 ans.
Pour pouvoir surveiller sa protégée, Sviden se fait passer pour le nouveau professeur d'initiation à la magie :p De cette façon, il pourra veiller sur Eïmina sans éveiller les soupçons (personne dans l'école à part Agentior ne sait qu'elle est l'Élue).
En à peine une journée, Mina a beaucoup progressé en magie. Elle a appris des sorts simples et surtout, à canaliser et maîtriser son énergie.
Elle ne va avoir qu'une année pour apprendre tout ce que les apprentis sorciers mettent plusieurs années à découvrir. Dès la fin de la semaine, elle rejoindra pour 3 mois la classe des Cadets.
Le soir venu, de retour à son dortoir, elle fait la connaissance de Laïra, une adolescente de 17 ans qui se lie d'amitié avec l'Élue. Tout le monde est gentil avec elle… Dans ma tête de parano, j'ai l'impression que c'est faux :/
Le lendemain après-midi, Eïmina retrouve Laïra et son meilleur ami de l'école, un garçon au nom de Prilyon.
Oh bah mince, elle qui veut rester discrète, c'est raté. Le collier vibre devant les Majors. Prilyon serait-il un Érudit ? Oh eh bien en fait, un rayon vert touche le jeune sorcier (l'Érudit de la justice) et un jaune touche Laïra (l'Érudit de la joie) :p Voilà 2 nouveaux Érudits (nous en sommes déjà à 4, il n'en manque plus que 3).
Même si les Érudits doivent se rendre à Daïstia pour leur apprentissage d'Érudits, Sviden les informe qu'ils vont d'abord finir leur année tous les 3 à Flovana avant que leurs routes ne se séparent.
Aìmeygor aussi fait de gros progrès en tant que fraternel. D'ailleurs, lui et Mina sont encore plus liés : leurs esprits ont fusionné. Même si cette fusion a été violente pour Eïmina (elle s'est évanouie et a eu très mal au crâne), elle lui permet de communiquer avec son fraternel. D'ailleurs, ce dernier s'est fait de nouveaux amis : une chimère et un loup-chauve-souris, les fraternels des deux nouveaux Érudits.
Tous les 6 assistent à un cours commun (c'est-à- dire rassemblant tous les élèves de l'école ) : l'entraînement avec les fraternels. Le lien entre Eïmina et Aìmeygor est très fort. Ils réussissent avec brio les exercices.
Le soir-même, toute l'école est réunie dans le réfectoire ; Agentior a une annonce à faire. C'est l'occasion de découvrir tous les professeurs. C'est rigolo parce que les descriptions physique des personnages (ainsi que leur nom) sont en raccord avec la matière qu'ils enseignent :p Il y en a beaucoup, et je n'ai retenu quasi aucun nom… En tout cas, l'équipe enseignante est composée d'un mélange de race, y compris des nains (alors que Mina pensait l'espèce éteinte).
Le directeur de l'école leur annonce que dans 6 mois, les Majors des 2 écoles de magie du continent s'affronteront dans une compétition :p
Dans 6 mois, cela fera 3 mois que l'Élue aura rejoint les Majors. Elle participera donc au tournoi. Craignant de ne pas être à la hauteur, ses amis la rassurent en lui disant qu'ils lui donneront des cours particuliers.
Comme dans chaque école, tu as des caïds, des gens qui se croient meilleurs que tout le monde. Le trio s'est fait des ennemis : Spactoïs et Nestios, les rédacteurs fouineurs du journal de l'école. La guerre est déclarée, mais Eïmina et ses amis doivent se méfier : leur secret doit rester secret…
Hum… bizarre… En pleine nuit, Eïmina est attirée sur la terrasse des fraternels par Sviden. Cependant, le lendemain, le demi-elfe lui dit que ce n'était pas lui. Quelqu'un se fait passer pour son protecteur ? Quelqu'un sait qu'ils ont un secret commun ?
Pour les protéger, Sviden lui apprend un sort pour dévoiler la véritable identité d'une personne. Ils doivent chacun la prononcer s'ils se retrouvent seuls à seuls.
Est ce que ça pourrait être un des 2 journalistes ? Un espion de Xortius ?
Eïmina va passer dans la classe supérieure, celle des Cadets. Pour la remettre à niveau, Laïra et Prilyon lui présentent les cours qu'elle va suivre : Magie générale, histoire de la Magie, cours de potion, cours d'Illusions.
Alors que les 3 amis filent celui qu'ils pensent être Sviden, ils sont attrapés par Neïcra, la professeure de Nécromancie. Elle les emmène dans sa salle de classe au sous-sol et leur dévoile qu'elle sait qui ils sont : l'Élue et 2 Érudits.
Elle en profite pour tirer les cartes à Mina. Elle lui dévoile qu'elle doit se méfier et ne faire confiance qu'à ceux dont le destin est lié au sien, qu'elle rencontrera l'âme soeur et que, même si elle réussira tout ce qu'elle entreprendra, elle ne doit pas laisser son passé prendre le dessus (autrement dit, elle va devoir laisser de côté son désir de vengeance).
Elle les informe ensuite que l'usurpateur est toujours dans le sous-sol mais qu'ils doivent se méfier : le lieu cache quelque chose. En effet, le groupe d'amis va s'aventurer dans un labyrinthe où, pour s'en sortir, il faut toujours tourner à droite. Mais ils risquent de rencontrer des dangers contre lesquels ils ne devront absolument pas utiliser la magie ; celle-ci se retournerait contre eux.
Eïmina, Prilyon et Laïra sortent bien vite du labyrinthe et retrouvent celui qui se fait passer pour Sviden. Grâce au sort fourni par son protecteur, Mina lève l'illusion. Face à eux se trouve Illistïos, le professeur d'Illusion lui-même. Il leur dit qu'il a surpris une conversation entre Sviden et Agentior et que cela a attisé sa curiosité. Selon lui, l'Elue a besoin d'alliés… La nécromancienne lui a dit de se méfier et je n'ai pas confiance en Illistïos, tout comme l'Élue et les Érudits. Le professeur les emmène dans le bureau du directeur. Pour Illistïos, il faut que le corps enseignant soit au courant de qui est Mina. Cela leur permettrait de mettre en place des cours particuliers pour les 3 jeunes gens. Sviden a mené son enquête sur chaque professeur : ils sont dignes de confiance. Il accepte donc cette idée. Agentior programme une réunion exceptionnelle le soir-même.
Tous les professeurs sont d'accord, et, après 3h de débats, un planning de cours particuliers est enfin mis en place.
L'absence des 3 amis dans le dortoir n'est pas passée inaperçue pour les rédacteurs en chef du journal. Ils décident de mener l'enquête et de les surveiller davantage. Comme Mina ne fait pas partie de leur classe, des Cadettes se chargeront de leur rapporter ses moindres faits et gestes… Je sens que Nestios et Spactoïs font devenir un problème.
Le premier cours individuel d'Eïmina est un cours de Potion. En essayant de réaliser l'exercice donné par le professeur, elle s'embrouille les pinceaux et crée une créature que son enseignant baptise hiripikïos. Ça ressemble à un hérisson avec de grandes oreilles, des yeux globuleux et une grosse bouche avec des dents acérées sur le ventre. Eïmina décide de garder l'animal qu'elle appelle Hiri.
Mina repense au soldat qu'elle a laissé aux Nymphes. J'y pensais moi même pour être honnête… et si c'était lui l'âme soeur dont lui a parlé Neïcra ?
Pour le second cours, l'élue sera avec les 2 Érudits. C'est un cours d'Illusions. Illistïos veut leur apprendre à créer des Illusions réalistes, en équipe (pour les grosses illusions) mais aussi individuelles pour les plus petites.
Les 3 jeunes gens sont doués, et Eïmina se surpasse, une fois de plus. Elle crée l'hydre qu'elle avait vu sur l'armure des soldats de Xortius. Ça étonne Illistïos, et il s'alarme que Xortius ait relâché des membres de son armée en Alécanthia. Cette révélation force le professeur à suspendre son cours et à aller parler au directeur. On n'en saura pas plus.
Les semaines passent. Mina entre chez les Majors. La compétition entre les 2 écoles de magie est avancée d'un mois.
Durant ses prochaines semaines, les cours sur les Éléments seront mis à l'honneur (en cours magistral, mais aussi en cours particulier pour l'Alécanthienne et les Érudits). Mais en plus de ceux-ci, les élèves étudieront aussi la Magie généraliste et la Botanique. Mine de rien, ces dernières semaines ont été intenses pour tout le monde, et surtout pour les 3 amis que l'on a vraiment poussés.
Grâce au joyau autour de son cou, la force magique d'Eïmina est incroyable. Elle est bien au-dessus de tous les élèves de l'école, voire même des professeurs.
C'est le jour J. Élèves, fraternels et deux enseignants prennent la route pour Ploumeïra.
Le voyage jusqu'à l'école de magie se passe bien. La compétition commence. Trois épreuves se succèdent. La première concerne la magie généraliste. Elle est remportée par l'école hôte. La seconde épreuve est une épreuve collaborative de botanique. Cette fois c'est l'école d'Agentior qui la remporte. Dans la toute dernière épreuve, celle pour partager les deux écoles, les élèves devront montrer leur habilité en métamorphose. Grâce à Eïmina, Laïra et Prilyon, Flovana remporté la compétition et concerne son titre de meilleure école de magie.
A peine la compétition terminée, les visiteurs reprennent la route de leur école. A leur arrivée, Agentior annonce qu'ils vont avoir 2 semaines de vacances. Mais cette nouvelle n'enchante pas Mina. Elle a un pressentiment : quelque chose d'horrible va se produire et elle ne pourra rien y faire.
Le groupe d'amis se sépare et Sviden et Eïmina retournent vers la tour pour repartir en Alécanthia. Cependant, Aìmeygor ne peut pas les accompagner. L'Élue va devoir se séparer de son fraternel pour 2 semaines.
Oh mince… la Tour de la Perdition est censée être protégée, mais à peine de l'autre côté, Sviden, Ortac et Mina se retrouvent face à des soldats de l'Armée Noire.
Pour voyager plus léger, les amis n'avaient pris ni armure, ni épée. Les soldats étaient protégés par un bouclier magique. Le temps qu'Eïmina le détruise, l'un d'eux a tenté de la tuer. Sviden s'est interposé et a reçu le coup à sa place. Oh bah mince alors, je ne m'attendais pas à ce que le protecteur de l'Élue meure… Sviden s'est réincarné en arbre. C'est le cœur déchiré que Mina et l'ours brun reprennent leur route.
De retour dans la Forêt de l'Oubli, le roi et la reine des elfes autorisent Mina à retourner auprès de ses poches pour soulager son cœur blessé. Elle décide alors d'aller voir Owney. Ce dernier est plus que ravi de la revoir (je sens toujours le rapprochement entre les 2, comme je l'ai dit au début :p). Le marchand lui apprend que les temps sont durs : l'Armée Noire est de plus en plus présente et elle ne fait pas que patrouiller. Elle réduit en cendres certains villages, comme Cazbellec…
Ouf ! Owney avait entendu l'information qu'un groupe de soldats se dirigeait vers le village. Il a prévenu Blau et tout le monde a pu être sauvé.
Xortius est au courant de l'existence de l'Élu (même s'il ne sait pas qu'il s'agit de Mina (enfin je pense)). En tout cas, quelqu'un la trahit. Le sorcier a envoyé ses soldats dans tous les endroits où se trouvait la jeune femme… Owney lui conseille de ne faire confiance à personne ou alors de lancer un sort de vérité sur les gens qu'elle côtoie. C'est ce qu'elle décide de faire et elle commence par son hôte. Parfait. Elle peut lui faire confiance, ainsi qu'à sa bonne.
Eimina se décide à remettre son collier. Le cristal s'illumine d'une couleur orange. Owney est le cinquième Érudit, celui de l'honneur. Il n'en manque plus que 2 : la pureté (je suis sûre que c'est le soldat qu'on gardait les nymphes) et la tempérance.
Owney et sa bonne, Fali, retournent donc sans la forêt elfique avec Mina, puis, la jeune femme continue son chemin vers la tour. Etant donné la réaction de Zaltet quand il rencontre Owney, je suis certaine qu’il a des sentiments pour Mina. Finalement, je pense que c’est lui son âme-soeur. Je sens un truc entre eux depuis leur première rencontre :^p
Au bout du désert, elle se fait attaquer par des soldats de Xortius. En mauvaise posture, elle reçoit l'aide d'un jeune homme, charmeur, nommé Laüstig (je ne le sens pas). Il se propose de l'accompagner jusqu' à sa destination. Pour protéger la tour, Eïmina refuse. Il lui dit alors qu'il est sûr qu'ils se reverront… un truc ne me plaît pas chez lui…
Les 4 derniers mois de l'année scolaire de magie se passent bien. L'Élue et ses Érudits sont très bons en magie et les lacunes des uns sont comblées par le savoir des autres.
C'est le soir du bal de fin d'année. Alors qu'elle n'avait pas envie d'y assister, Laïra arrive à faire changer d'avis Eïmina.
Grâce à la princesse Adarra et à son amie, Mina est la copie conforme de ce qu'elle avait vu dans le miroir.
Au bal, il y a un invité spécial : Grofus, l'Érudit qui avait Xortius pour disciple il y a bien longtemps. Il veut s'entretenir avec Eïmina.
L'elfe lui apprend que ses 2 amis partiront avec lui à l'aube. Pas de temps pour les au revoir. De son côté, avant de les rejoindre, elle devra aller à Palasthia et suivre les instructions indiquées sur un parchemin.
Pendant que Mina parlait avec Grofus, Nestios et Spactoïs ont emmené les 2 Érudits dans les catacombes…
Les 2 fouines sont persuadées que le trio veut détruire l'école de l'intérieur. Ils disparaissent dans une explosion pour tout aller raconter au directeur. Mais leur départ a brisé les cages de verre des créatures du sous-sol qui s'en prennent aux 3 amis.
Grâce au lien mental qui les unit, ils unissent leur force pour remettre dans les cages les créatures. On a vraiment l'impression qu'ensemble, rien ne peut leur arriver.
Oh bah mince, même Aìmeygor est parti avec ses amis. Une fois de plus, l'Alécanthienne se retrouve seule avec Hiri
De retour en Alécanthia, elle prend la direction de Paleasthia.
Près du Fleuve Caïssa, elle tombe de nouveau sur Laüstig et son fraternel, Vultur, un magnifique Phoenix. Comme par hasard, je te laisse deviner où il va… tsss…
Ils se font attaquer par une énorme bestiole volante. Laüstig protège l'Élue en la plaquant contre un arbre pendant que Vultur s'occupe de la créature. Le jeune homme embrasse alors Mina, disant qu'il y pense depuis leur première rencontre. D'ailleurs, Laüstig plaît également beaucoup à Mina (mais moi je ne l'aime pas…).
Tous les 2 grimpent à bord d'un navire qui les déposera près de Palasthia.
Au cours du voyage, des soldats stoppent le bateau. Heureusement Mootiüs, le capitaine, sait quoi dire : il prétend livrer des armes à Xortius. Les soldats le laissent passer et bientôt, ils arrivent à bon port.
Décidément, le sorcier est prêt à tout pour mettre la main sur l'Élu et l’empêcher de lui nuire…
Les 2 jeunes gens vont dans une auberge. Laüstig règle les 2 chambres sans rien demander à Mina.
Alors que la jeune femme range ses affaires, on frappe à la porte. Son compagnon de voyage a décidé de ne plus retenir cette attirance incontrôlée pour l'Élue. Il l’embrasse fougueusement. Ils passent la nuit ensemble et Eïmina se sent bien auprès de lui. Pourtant, au petit matin, il a l’air inquiet. Il la quitte précipitamment sans lui donner plus d’explications et lui dit qu’ils ne se reverront jamais. C’est un espion non ? Sauf qu’il ne pensait pas être attiré autant par elle ? Il est louche, je le dis depuis le début…
Eïmina, déçue par le comportement du jeune homme, entreprend la mission que lui a confiée Grofus. Elle ouvre le parchemin et découvre le lieu où elle doit se rendre : la bibliothèque de Palasthia.
Là-bas, suivant les instructions du vieux Sage, elle découvre un livre ancien qui semble vide… Elle le met dans son sac et sort du bâtiment. Devant celui-ci, elle rencontre Tilo qui l'emmène voir Blau.
C’est le cœur chargé à bloc qu’Eïmina s’apprête à repartir. Elle crée un portail vers la Forêt de l’Oubli mais elle ne devait pas être assez concentrée, elle arrive finalement à Cazbellec, en ruine… Bien vite, le bonheur d’avoir revu ses amis et d’avoir eu des nouvelles de ses proches laisse la place à la colère et au désir de vengeance…
Cette fois, elle crée un nouveau portail et retourne dans la forêt elfique pour donner le livre à Grofus. Mine de rien, son détour dans son ancien village lui a donné la rage et la force de se battre, d’accomplir son destin.
D’ailleurs, son destin est en train de se mettre en place.
Alors que Grofus allait lui expliquer ce que contient le livre, le couple royal les convoque. Xortius a pris possession d’une ville à l’est de Palasthia. Il est donc décidé de mettre en place une armée pour défendre leur monde.
En conclusion
Je suis ravie d’avoir enfin pu lire ce livre. Il m’a rappelé des souvenirs d’une saga que j’avais beaucoup aimée (et qui m’a fait aimer le fantastique) : Les Chevaliers d’Emeraude d’Anne Robillard. J’ai aimé me retrouver dans ce monde où des créatures magiques et non magiques se côtoient, où un groupe de personnes est choisi pour défendre le continent.
Chacun des personnages est attachant et, on veut avancer dans l’histoire et tout découvrir avec Eïmina.
Cependant, des choses m’ont “dérangées”. J’ai été prise dans l’histoire, du coup, j’ai trouvé qu’elle allait trop vite. Il y a parfois des sauts dans le temps (je voulais rester encore un peu avec eux moi), et certaines scènes ne sont pas assez décrites, pas assez longues à mon goût (je pense notamment à la rencontre avec la Salamandre des sables dans le désert d’Ambrovor).
Ensuite, j’aime qu’un livre me surprenne. Ici, beaucoup de choses étaient prévisibles. Honnêtement, j’espère me tromper avec cette remarque :p Au fil de ma lecture, j’ai fait des suppositions et je suis impatiente de découvrir dans les prochains tomes si j’ai vu juste ou non :p
Oui, tu l’as compris, j’ai aimé ce livre et les remarques négatives que je fais sont justement liés au fait que j’ai aimé et que j’aurai bien aimé que le tome fasse le double de pages pour m’y plonger encore plus :p
Le tome ne se termine pas sur un cliffhanger, mais sur un tournant dans l’histoire. Ça ne m’étonnerait pas que le prochain tome commence quelque temps plus tard. J’ai vraiment hâte de continuer les aventures d’Eïmina.
#fantasy #magie #pouvoir #saga #Alécanthia
- le Lun 31 Mai 2021, 10:33
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- Sujet: Les Marcheurs de Brume - Nibelungen (T.1)
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Les Marcheurs de Brume - Nibelungen (T.1)
Les Marcheurs de Brume - Nibelungen (T.1)
de Sophie Fischer
Résumé :
Le Nibel a recouvert le monde. Caprice de la Nature ou punition divine, nul ne le sait, mais cette brume maléfique regorge d’autant de mystères que de dangers. Contraints de se réfugier dans les montagnes pour lui échapper, les hommes ne peuvent voyager de ville en ville que lorsque le fléau retombe dans les vallées, au gré de marées hasardeuses dont seuls les guides connaissent les secrets. En aînée responsable, Rikke a décidé de mener son frère Ulrik, atteint de cécité, jusqu’à la cité de Gilburg. Là-bas, parait-il, se trouveraient des médecins capables de lui rendre la vue. Sous la houlette de leur guide, Answald Friedhart, leur périple se révèlera une aventure aux multiples rencontres… pas toujours bienveillantes.
Mon avis :
Au fil de ma lecture
- Ne pas ouvrir si tu as l'intention de lire le livre:
- Rikke, accompagnée de son cadet Ulrik, voyage avec une caravane depuis plusieurs jours au milieu des montagnes, dans l'air glacé et le silence. Leur guide mène une cadence de fou pour rejoindre au plus vite Hamlet ; il craint un changement de temps qui pourrait être compliqué à gérer dans le coin.
Les gens se font souvent accompagner (en groupe pour en réduire le coût) par un guide connaissant bien les lieux. En effet, ils doivent à tout prix éviter le Nibel, un terrible brouillard dense où, une fois englouti, il est très (trop) compliqué d'en sortir.
Dans le groupe, 2 personnes avancent sans crainte : Answald, le guide qui connait le chemin comme sa poche et Ulrik. Étant aveugle, ce dernier ne se rend pas compte du danger tout proche.
Rikke et Ulrik ont pour destination finale Gilburg. Le jeune homme n'est pas aveugle de naissance, et sa soeur pense que dans cette ville, des médecins sont capables de le soigner. Ils feront une halte à Hamlet où ils se reposeront et reprendront leur périple ensuite.
En fait, le Nibel fonctionne un peu comme l'océan : avec des marées. Pour le coup, la caravane est arrivée pile poil à Hamlet. Quelques heures de plus et ils se faisaient engloutir par la vague.
Ce début d'histoire est un chouilla long, mais il faut prendre le temps de poser le contexte et de présenter les différents personnages.
Au fil de l'histoire, on ne suit pas que Rikke et Ulrik. Certains chapitres sont consacrés à Answald. On comprend donc que ces 3 là seront les personnages principaux de la saga.
Answald a survécu à une attaque de Nibelungen, une des créatures vivantes dans le Nibel. Leur poison est mortel et c'est très rare de survivre quand on a été blessé par l'un d'eux.
Rikke et Ulrik s'inscrivent sur la caravane mandatée par l'Eglise et contenant déjà 3 prêtres. Celle-ci va à Gildurg et sera menée par Answald. Cela met en joie Urick : il ne voulait aucun autre guide. Il sent que celui-ci est spécial, qu'il a un don.
Un mois plus tard, le Nibel est retombé dans la vallée. Le jour du départ est arrivé.
Wah ! La brume est vraiment flippante… En plus de regorger de créatures qui massacrent les personnes qui se font surprendre par la brume, celle ci corrompt les esprits, rend fou ceux qui la respire
Le pire dans tout ça, c'est qu'il semblerait que le Nibel soit une punition de Dieu. Les hommes ont oublié les traditions, obnubilés par le pouvoir, ce qui a contrarié Dieu. Tu m'étonnes que les gens réagissent mal quand les 3 prêtres rejoignent la caravane. A leur place, j'aurai moi aussi du mal à croire à cet être divin et à lui montrer de l'amour et de la dévotion…
Olfram, le "chef" des prêtres, se trouve une mission : pendant le voyage, il veut remettre les âmes errantes, telles que celle de Rikke et Ulrik sur le droit chemin. Il veut leur prouver que le "mal" qu'impose Dieu au jeune garçon (sa cécité) est une sorte de test. Dieu l'a certainement privé de la vue pour lui confier autre chose, peut-être un don ? J'avoue que ce début de voyage est intriguant ^^
Souvent Answald revit son attaque par un Nibelungen dans la brume. Il en fait des cauchemars. Je me demancde comment il a survécu : grosses lésions dans le dos et, avant son réveil en sursaut, la créature aux yeux jaunes avait ouvert grande sa gueule au dessus de son visage et de son cou.
D'ailleurs, personne ne sait d'où viennent ses créatures : est-ce qu'elles "naissent" du Nibel ? Est-ce qu'elles sont arrivées en même temps que lui ? Moi je me demande même si ce n'est pas les âmes qui y ont péri qui mutent et se transforment en créatures.
Le voyage prend une mauvaise tournure. Un monument commémoratif pour le souvenir d'une guide qui s'est sacrifiée pour les nonnes qu'elle accompagnait a été profané. Tout laisse penser que c'est une personne rongée par le Nibel qui est en l'auteur, un homme (ou une femme) qui aurait perdu la tete. Cela dit, comment il ou elle a survécu aussi longtemps au Nibel et aux Nibelungen, c'est un mystère…
Alors qu'il ne leurs reste plus que 3 jours de marche pour attendre Gildurg, le Nibel monte d’un coup, sans signe avant coureur (que guette pourtant sans relâche Answald). Pour le moment, seuls Answald, Rikke et Ulrik s'en sont aperçus. Air aïe aïe… la caravane risque de se faire engloutir non ?
Ça y est, tout le monde a remarqué. Sans perdre une minute, tous tentent de grimper le plus haut possible sur la montagne. Je t'avoue que cette ascension m'angoisse, d'autant plus que c'est le point de vue d'Ulrik qu'on suit ici et il est aveugle. C'est assez stressant.
Ils finissent par atteindre un village abandonné. Le Nibel monte toujours. Answald leur ordonne d'aller se réfugier dans l'église. Avec le mouvement de panique, Rikke et Ulrik sont séparés ; la jeune femme serrait la main de son frère pour le guider, mais elle a été entraînée de force et lui est tombé au sol. Eh voilà, Ulrik est dans le Nibel. Il a été attaqué par une créature qui lui a lacéré le dos. Mais Answald est venu le récupérer. Il tire sur la bête et tente de sortir le jeune infirme de la brume. Alors qu'ils étaient encerclés par des Nibelungen, une lumière apparaît. Forte, puissante. L'espace d'un instant, Ulrik retrouve la vue. Il voit la lumière, la silhouette, le visage du guide. C'est Olfram, l'ecclésiastique qui semble avoir un don Grâce à lui, le guide et le jeune homme pénètrent dans l'église. Dès que le prêtre baisse les bras, l'obscurité revient dans les yeux d'Ulrik.
Bon les blessures du jeune homme ne sont pas si graves. C'est déjà ça. Cependant, ce qui est plus problématique, c'est que les vivres vont manquer si le Nibel met du temps a redescendre…
Est-ce que Rikke pourrait tomber amoureuse du guide ? Je n'ai pas l'impression qu'on va avoir de l'amour dans cette saga pourtant…
Answald s'en veut de ne pas avoir remarqué plus tôt que le Nibel était en train de monter. Rikke tente de le réconforter comme elle le peut. Comme je le pensais, le guide ne la laisse pas indifférente. Est-ce que c'est partagé ? On sait qu'il s'est attaché à l'aveugle, mais que pense-t-il de sa soeur ?
Quatre jours plus tard, le Nibel est enfin redescendu. Ils peuvent reprendre leur route. Du village abandonné il ne reste plus rien, si ce n'est l'église, miraculeusement debout (intervention divine ? Peut-être, après tout, beaucoup de personnes de la caravane se sont mises à prier avec Olfram).
Les voilà enfin arrivés à Gildurg. Ouf ! Comme je m'en doutais, Rikke ne laisse pas indifférent Answald. Cependant, son métier de guide le contraint à une vie de solitaire et il préfère ne pas penser à la jeune femme. Il vaut mieux pour elle qu'elle reste loin du Nibel.
Answald a été invité à un "pot" par la maire de la ville pour saluer son exploit d'avoir sauvé sa caravane du Nibel. Il ne veut pas y aller, n'aimant pas les louanges et être le centre de l'attention. Quand il en parle avec Ulrik et Rikke (pour lesquels ils semblent avoir beaucoup d'affection), le jeune aveugle propose que sa sœur l'accompagne pour que la soirée soit plus agréable. Le premier rendez-vous de Rikke et Answald :p
Alors qu'ils sont à la réception (et qu'ils sont aussi mal à l'aise l'un que l'autre), un aéronef (machine que personne ne connaît ici) se pose sur dans le jardin. Olfram se méfie : une machinerie pareille, qui brave les commandements de Dieu (il est interdit d'aller haut dans le ciel), ça n'annonce rien de bon. Mais tous les bourgeois de la réception ne connaissent pas le danger et leur curiosité les pousse à s'approcher pour en savoir plus. L'homme qui descend de l'appareil semble avoir une trentaine d'années. Il dit qu'il vient en paix, qu'il s'appelle Elias et qu'il a traversé l'océan pour venir les voir.
Rassemblant son courage, l'évêque Olfram s'avance vers lui. Elias affirme que, de là où il vient, le brouillard n'existe pas, enfin, plutôt qu'il n'existe plus. Il s'est éteint depuis une décennie Comment c'est possible ? L'étranger affirme qu'il vient leur offrir un moyen de se débarrasser du Nibel. La maire de Gilburg lui accorde une entrevue. J'avoue que, pour le coup, je suis plutôt d'accord avec le prêtre… Je n'accorde aucune confiance à cet homme. Comment être sûr qu'il dit vrai ? Pourquoi arrive-t-il maintenant ? Comme par hasard, au moment où le Nibel se montre instable ? C'est une sacrée coïncidence non ?
Malgré tout, cet appareil apporte une lueur d'espoir : finis les dangers de la route, grâce à lui, les gens pourraient atteindre plus rapidement des villes. Cette perspective change la vision de Answald : s'il pouvait abandonner sa vie de guide alors peut-être que Rikke et lui….
Eh bien eh bien ! L'archevêque de Guilburg ne pense pas comme Olfram. Pour lui, le Nibel n'est pas une création de Dieu, mais bien une conséquence de la technologie (et de la pollution) des Hommes.
Je ne sais pas si c'est un effet secondaire du Nibel qu'il a respiré, mais Olfram semble de plus en plus avoir des sortes de pulsions mauvaises, il parle lui de la tentation du Malin. Quoi qu'il en soit, il se détourne peu à peu des hommes d'Eglise qui ne sont pas assez croyants pour lui étant donné qu'il n'ont pas résisté aux inventions des ingénieurs et machinistes.
J'avais raison ! Le Nibel transforme bien les créatures égarées en Nibelungen. En effet, un voyageur affirme que lui et ses hommes ont vu un homme aux yeux jaunes, un homme vivant hors des villes, dans le Nibel depuis plusieurs semaines. Il se trouvait au croisement Sainte Mathilda, proche de là où Answald avait découvert la pierre et le monument profané. Ça doit être le guide égaré
Oh oh… Une fois encore, il se passe un truc bizarre avec le Nibel. Il monte plus haut qu'à l'accoutumée : il a englouti le premier étage de Gilburg. Ça n'augure rien de bon.
Answald envoie Rikke et Ulrik se réfugier dans les paliers supérieurs. Pendant ce temps il s'occupe de prévenir les habitants. Les voilà donc séparés.
Le frère et la sœur vont jusqu'au dernier étage pour essayer de trouver l'évêque Olfram. Il a repoussé le Nibel une fois, peut-être pourra-t-il le faire une seconde fois et sauver ainsi tous les gens du premier palier et le guide. Sauf que, comme je l'avais prévu, le prêtre est sous l'influence du Nibel : quand il pose ses yeux que les 2 jeunes adultes, ils sont jaunes ! Le voilà en mutation pour devenir Nibelung… Pourquoi lui est atteint par la brume qu'il a respiré et pas Ulrik et Answald ? Ces 2 derniers sont spéciaux ? Peut-être ont-ils des pouvoirs ? Par exemple, le jeune aveugle perçoit les auras : il repère les gens même s'ils ne sont pas tout proches, ressent les émotions / sentiments… Il voit avec ses sens. Et pour le guide il a survécu une première fois au Nibel sans trop savoir comment .. J’ai hâte de les découvrir un peu plus.
Answald n'est pas le seul guide à prêter main forte à la garde pour évacuer les niveaux inférieurs. Beaucoup de ses collègues l'ont également fait. Cependant ce n'est pas évident de demander à des habitants pauvres de laisser derrière eux le peu qu'ils ont.
Rhooo second passage angoissant du livre… Le Nibel envahit peu à peu l'étage où se trouve Answald. Le voilà pris au piège… À vouloir sauver la vie d’un maximum de gens, c'est la sienne qu'il risque. Est-ce qu'il va réussir à s'en sortir une 3e fois ? Peut-être que son sauveur sera Elias ?
Ouf ! Après bien des efforts, il arrive à atteindre l'étage supérieur. Tout comme Rikke et Ulrik, il pense à la seule personne pouvant les sauver : Olfram ! Il court vers le dernier étage (il va probablement arriver pile quand il faut pour sauver ses 2 amis).
Olfram a des pouvoirs Il a réussi à fermer les portes de l'église rien qu'en levant les bras et a éteint les bougies Je pense qu'Ulrik a raison : le prêtre devient un Nibelung et du coup, il a le pouvoir de faire venir la brume à lui. Voilà pourquoi elle envahit la ville.
Alors qu'Answald cherche Olfram à la mairie, il se rend compte qu'elle est vide et que l'aéronef n'est plus là. Super… ils sont partis, laissant les habitants périr dans le Nibel…
S'il doit mourir, il veut que ce soit avec Rikke dans les bras. Il se ressaisit et part à la recherche de la jeune femme. C'est ainsi qu'il prend la direction de la cathédrale.
Il arrive finalement à entrer dans l'église par une porte secondaire (l'évêque tenant les portes principales closes). Il suit quelques échanges de sa cachette puis enfin, se décide à agir. Mais le prêtre est trop fort. Il le maintient à distance grâce à ses pouvoirs et personne ne peut lui tenir tête.
Quoi ??? Ça se finit comme ça ? Ulrik est évanoui, assommé par la chute que lui a imposé Olfram. Rikke est blessée après la gifle reçue du Nibelung. Et Answald est mort ? Évanoui ? On ne sait pas… Il n'est plus bloqué contre le mur mais il n'atteint pas le sol. Frère Eberhard l'a t il rattrapé ? Mon dieu il me faut le second tome !
En conclusion
Pour commencer, l’univers de ce livre n’a rien à voir avec celui de la série Cauchemars. Ici, on ne se retrouve pas dans un monde que l’on connaît. Pour survivre face au Nibel qui est une brume, les habitants ont dû fuir les plaines et construire des villes dans la hauteur des montagnes où le brouillard ne les atteint pas (je ne regarderai plus le brouillard de la même façon, c’est certains...). Une fois que tu es “pris au piège” dans le Nibel, tu es foutu(e).
Au cours de ma lecture, je me suis rendue compte qu’on ne suivait pas un seul personnage principal. En effet, même si le narrateur est omniscient, nous suivons à chaque chapitre un personnage en particulier : Rikke, Ulrik, Olfram ou Answald. En général, je n’aime pas ce genre de narration parce que j’ai souvent du mal à savoir avec qui je suis (ici, étant donné qu’on a un point de vue externe, eh bien le prénom du personnage est clairement dit assez vite), mais aussi parce qu’on a parfois du mal à situer l’action (a-t-elle lieu avant le chapitre précédent ? Après ? En même temps ?). Cela dit, ça ne m’a pas vraiment dérangée ici, peut-être parce que le changement s'opère dès les premiers chapitres et que celui-ci te permet d’en découvrir plus sur chacun des personnages (tu comprends un peu mieux son histoire, ses sentiments, ses réactions).
Les chapitres du livre sont parfois (trop) longs et, très honnêtement, j’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire. Il faut le temps de poser le contexte, de présenter les personnages et j’ai eu mal avec toutes les descriptions (j’ai besoin d’action !). D’ailleurs, c’est vrai que dès que l’histoire a commencé à bouger (notamment à partir du voyage vers Gildurg), là j’ai été prise dans l’aventure et j’ai eu du mal à décrocher. Deux passages m’ont fait stressé mine de rien
Même si le livre ne fait que 200 pages, je me suis attachée aux personnages et j’avoue m'être retrouvée dans certaines de leurs remarques/façons de voir les choses.
Concernant mon avis final du livre, je dois dire que j’étais peu emballée au début, puis, au fur et à mesure, je me suis laissée transporter. Ce n’est pas un coup de cœur et il est bien loin dernière Cauchemars, saga pour laquelle j’ai eu un réel coup de foudre. Néanmoins, étant donné la façon dont ce tome se termine, je ne peux pas m’arrêter là ! (Tu sais, c’est le genre de fin où tu sautes directement sur le tome suivant pour connaître la suite tellement elle est soudaine et inattendue et que tu veux absolument savoir ce que deviennent les personnages!). Hâte de pouvoir découvrir le second tome ^^
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